Une première fois « bi »en singulière (1)
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... disgracieux de Magalie. C’était une femme peu ragoutante, petite, aucunement apprêtée, grasse comme son père. Sa peau boursoufflée et marbrée par la cellulite ne m’inspirait aucun désir. Et pourtant... Dans ma quête d’orifice potentiellement fécondable, je trouvais enfin où loger la première phalange de mon index. Elle gémit timidement et s’empala immédiatement sur mon doigt maintenant souillé de ses sécrétions intimes. Je lâchai un « quelle salope ! » tout aussi surprenant que bienvenue vue les circonstances qui décrochait un sourire d’affection de Robert à mon égard, m’encourageant à me débrider un peu plus encore. Ce n’est plus un mais maintenant deux puis rapidement trois doigts qui fouillaient l’antre en feu de ma belle-sœur : Elle se baisait toute seule sur ma petite main qui disparaissait totalement en elle. Je me surpris même à imprégner un certain mouvement à chacun de ses mouvements de bassin. R : « Doigte-lui le cul aussi, n’hésite pas c’est son p’tit péché mignon » J’avançais, incontrôlable, et tendis timidement l’index ma main libre vers ce petit orifice dont je n’imaginais pas une quelconque fonction orgasmique. Robert me conseilla de cracher dessus. Constatant ma trop grande délicatesse à son gout, il se recula, laissant la bouche de Magalie béante, cracha sur deux de ses doigts et pilonna violemment le trou de cul de sa propre fille, lui arrachant au passage un cri n’évoquant que douleur. Stupéfait, je le regardais d’un air des plus interrogatifs sur ce ...
... qu’il venait de faire. R : « ne t’inquiètes pas elle crie de douleur maintenant mais dans deux secondes elle va couiner de plaisir ha haaaa ! » Et effectivement c’était à présent elle qui s’empala sur ce boudin épais que formaient l’index et le majeur de Robert. Il retira ses doigts et me lançait : R : « mets-y donc ta p’tite queue de puceau avant que ce se referme petit malin ! » Ne comprenant pas tout de suite, c’est Magalie qui, dans un équilibre que je ne soupçonnais pas, prit ma jeune tige à jus et la guida vers le sanctuaire des enfers. Elle poussa fort mais lentement pour m’insérer au maximum dans son divin fourreau. Mon Dieu que c’était bon... Comment pouvais-je ignorer pareil plaisir quelques minutes auparavant et maintenant je me demandais comment pourrais-je survivre à son absence. Robert m’ordonna d’initier des coups de reins francs et directs, me demandant également de mettre mes mains derrière la tête de Magalie. Robert ayant repris place dans la gorge de sa descendance, les élans de mes coups de reins de plus en plus violents arrachant des gémissements à ma belle-sœur permettaient à Robert de pilonner au mieux le gosier de la cochonne qui nous servait à présent corps et âme. Après quelques minutes, Robert nous fit se relever tous les deux, disposant sa fille telle une marionnette ventre à plat sur un établi qui nous faisait face. Son cul offert, il lui demandant d’ouvrir ses larges fesses avec ses propres mains. La vision était saisissante : Magalie, les seins ...