1. Unités de compte


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, essayage, Collègues / Travail chantage, entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe exercice,

    Ma femme m’avait demandé si je pouvais faire quelque chose pour le dressing. Elle se plaint depuis des mois que les étagères ne sont pas solides et que surtout le papier peint sur le mur du fond est une horreur. Elle est bien gentille, mais depuis que nous avons emménagé dans cet appartement, je n’ai pas arrêté de tout refaire. Il faut dire que je suis artisan, un peu polyvalent, mais j’aimerais bien ne pas avoir à continuer le soir en rentrant ! D’accord, nos finances sont totalement à sec et pas question de se lancer dans des dépenses, mais je n’ai plus une minute à moi. Elle non plus d’ailleurs, totalement investie dans son commerce. Autant dire que lorsqu’on se retrouve ensemble et que si j’ai envie d’un câlin, la plupart du temps je dois utiliser la veuve Poignet. Pourtant, avant qu’elle ne devienne patronne et propriétaire, même après de longues journées elle ne refusait pas de belles parties de jambes en l’air. Mais ça, c’était avant. Bon, en réalité nous ne sommes pas à plaindre. En l’espace de quelques mois elle est devenue propriétaire de la boutique et de l’appartement qui la jouxte. Elle y travaillait depuis des années lorsque la patronne est décédée brutalement. Le mari, manifestement plus jeune et qui vivait aux crochets de madame, a voulu vendre très vite. C’est vrai que pour tenir un commerce de lingerie féminine, un homme ce n’est pas le top. Martine, ma femme, venait justement de toucher un petit héritage qui, cumulé à des économies prévues pour acheter ...
    ... un appart, ont permis de mettre la somme sur la table. Moi, j’ai hésité à mettre tous nos œufs dans le même panier, mais manifestement c’était l’affaire du siècle. Alors j’ai cédé. Pour l’instant, à part le bricolage qui m’occupe pas mal – mais un jour ce sera terminé – je ne vois que des avantages. L’appart est plus près de mon boulot. Martine a juste à passer une porte pour se retrouver dans sa boutique. Et, cerise sur le gâteau, les affaires marchent très bien. Il faut dire que l’ancienne patronne était un peu en retard et que Martine sait satisfaire les clientes avec une montée en gamme des produits, une diversité de l’offre, n’hésitant pas à sélectionner des dessous plus coquins. Au fond du magasin, elle a même créé une vitrine avec quelques gadgets qui sont maintenant dans les mœurs féminines. Donc tout va bien, sauf que toutes ces belles choses font plus le bonheur des clientes – même de certains hommes qui n’hésitent pas à franchir le seuil – que du malheureux mari que je suis. Mais, peut être que si je lui refais son dressing, j’aurai droit à une récompense. Elle a heureusement tout débarrassé de nos vêtements lorsque je me lance. La pièce est finalement assez grande une fois les étagères enlevées. Quel boulot de merde ! Le gars qui avait fait ça était vraiment nul. En plus, dès que je commence à décoller le fameux papier peint, le plâtre vient avec. En réalité, c’est juste une mince plaque qui sert de support. Et ce support ne tient pas au mur. Quelques minutes ...
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