1. Unités de compte


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, essayage, Collègues / Travail chantage, entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe exercice,

    ... La boutique est fermée, et d’une porte Martine rentre à la maison. Comme toujours, nous bavardons de son affaire, et elle me demande si de mon côté j’ai avancé. Je réponds que oui. En réalité, j’ai décidé de lui en faire la surprise lorsque nous irons nous coucher. J’imagine déjà sa tête ! Mais après le repas, elle m’informe : — Chéri, je prends une douche tout de suite. Mes yeux brillent d’espoir et de galipettes. Mais elle continue : — Oui, il faut que je regarde mes comptes et que je fasse un peu de rangement dans la livraison de cet après-midi. Comme ça je ne te dérangerai pas si tu dors quand je reviens. Cela lui arrive quelquefois. En réalité, une à deux fois par semaine. Pour l’instant, elle refuse de prendre une vendeuse et elle se coltine tout. Je ne peux pas l’aider pour sa compta et elle a refusé que des mains "calleuses" comme les miennes touchent les fragiles dentelles. Quelques minutes plus tard elle passe devant moi en peignoir. Qui peut se vanter d’aller travailler en peignoir ? Moi, comme je ne trouve rien d’intéressant à la télé, je décide d’aller me coucher. Mais dès que je suis au lit je vois une lueur qui passe sous la porte du dressing. Je pense – c’est normal –« Martine a éclairé le magasin pour ranger. » Elle peut se le permettre car la vitrine est totalement opacifiée par un rideau épais, et personne ne peut la voir déambuler en peignoir depuis la rue. Elle serait à poil que ce serait pareil. Je ne sais pas pourquoi, mais je me lève pour aller ...
    ... regarder. On voit parfaitement, exactement comme si on était dans la pièce. C’est d’ailleurs le plus beau des spectacles. Martine est toute nue. Peignoir et chemise de nuit sont accrochés au portemanteau. Elle est en train de mettre de la charmante lingerie. La lingerie coquine qu’elle conseille à ses clientes. La coquine me prépare une surprise. J’ai dû oublier – c’est ma spécialité – un anniversaire. Elle est friande de ces célébrations qui, généralement, me gonflent. Mais ce soir, je suis prêt à faire une exception. Je la regarde, dégustant des yeux celle qui va venir me rejoindre. La culotte est un appel au viol. Petit triangle sur sa chatte, ruban de dentelle sur les reins et ficelle qui ne voit plus la lumière du jour dès qu’elle disparaît entre ses fesses. Le soutien-gorge est parfait pour sa lourde poitrine, demi-balcon sur lequel s’appuie le lobe et laisse le téton pointer à l’air libre. Elle est justement en train de ceindre un porte-jarretelles autour de ses hanches et d’en relier les attaches aux bas luisants. Rien de plus érotique que le geste, pieds en appui sur la banquette, jambe fléchie et corps penché pour relier les bas aux dentelles. Elle s’examine devant la glace. Heureusement que je ne lui ai pas encore dévoilé le secret ! Je n’aurais pas eu droit à cette liberté, ces gestes libérés de toute pudeur, ces doigts qui tirent sur ses tétons pour les rendre encore plus saillants, et même de cette caresse de la main qui semble flatter son petit bouton. Elle est ...
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