1. Unités de compte


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, essayage, Collègues / Travail chantage, entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe exercice,

    ... suffisent pour constater qu’il ne tient que par du Scotch double face. À chier. C’est à ce moment que je comprends qu’il y a quelque chose de louche. À mesure que j’arrache le haut de la plaque, je découvre que le vrai support est en verre. Pire, je vois de la lumière de l’autre côté comme si c’était une fenêtre ou une porte vitrée qui avait été condamnée. Soudain je sursaute. Je vois quelqu’un apparaître de l’autre côté. Un visage. Un visage de femme. Elle va crier, mais rien ne se passe. Par la petite surface libérée, je constate qu’elle ferme une porte qui me renvoie son image. Son visage disparaît. Revient. Disparaît à nouveau comme si elle ramassait quelque chose au sol. J’ai compris. Ce que je vois, c’est une cliente de Martine. Une cliente qui est dans une cabine. Plutôt dans « la » cabine. Le fameux salon d’essayage. On n’avait pas encore signé que ma femme me parlait de ses idées pour relancer les ventes. D’abord son offre de lingerie plus chic, voire beaucoup plus sexy, associée avec sa vitrine de sextoys pour femmes. Ah, ces fameux jouets nous ont procuré des soirées bien sympas… Nous avons servi de cobayes, et je me souviens que nous avons beaucoup ri, mais aussi beaucoup joui. Mais sa grande idée c’était le salon d’essayage. — Tu sais, il n’y a rien de pire que de se tortiller dans un lieu trop étroit, à peine isolé du couloir ou de cabines voisines par de simples rideaux. Pour essayer de la lingerie, il faut se déshabiller entièrement.— Il suffit peut-être d’en ...
    ... supprimer quelques-unes pour en faire de plus grandes.— Non, car il n’y a pas que la taille.— Ah ?— Oui. Je voudrais, pour faire un essai, que tu me fasses au fond du magasin un vrai salon. Il y a déjà deux cabines avec le miroir au mur. Elle continue en me montrant un magazine. — Je voudrais quelque chose comme ça. Quatre mètres carrés environ, des murs pleins avec un plafond, une vraie porte.— Que d’espace perdu !— Mais non. Tu sais, maintenant les filles viennent souvent avec une copine. Les femmes sont souvent accompagnée de leur mari ou… de leur amant. Un petit sourire flotte sur ses lèvres. — Ils attendent dans le couloir que la cliente essaye, et ils dérangent les autres. Les hommes, surtout, dérangent les clientes qui sentent leur présence juste derrière le rideau qui souvent ferme mal. Je suis persuadée que beaucoup repartent sans essayer du fait de cette promiscuité. Avec ce salon, deux personnes peuvent tenir. Je pense même ajouter une ou deux banquettes.— Mais ce n’est pas la majorité.— Oui, c’est vrai. Mais, même lorsqu’une femme seule sélectionne de la lingerie coquine, elle ne veut pas être surprise par quelqu’un qui ouvre le rideau par mégarde. J’ai même prévu un petit passage pour pouvoir lui donner une taille différente ou une autre tenue sans qu’elle ait besoin de sortir.— Eh bien, chérie, on peut dire que tu penses à tout.— Aussi, je veux des miroirs sur les quatre murs, le sol et le plafond.— Quoi ?— Oh, pas sur toute la surface, mais assez pour que l’on ...
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