Unités de compte
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
essayage,
Collègues / Travail
chantage,
entreseins,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
exercice,
... sa boutique, je pense qu’elle acceptera de témoigner contre vous. Après tout, ce que vous êtes, c’est un proxénète. Je joue au poker menteur. Car si on réfléchit bien, même si je n’étais pas informé, le "mac", c’est moi. En effet, c’est moi qui m’enrichis par les faveurs que ma femme accorde à des hommes en échange du remboursement d’un emprunt. Martine réagit à cette menace : — Et je ne vais pas m’en priver. Je sais déjà où trouver certains hommes que tu m’as amenés. Il suffira de les convaincre de parler pour qu’ils disent combien tu les faisais payer pour me voir.— "Me voir ": voilà une drôle de façon de parler… L’homme qui discute maintenant n’a plus rien à voir avec le conquérant qui était entré dans cette chambre. Nous convenons d’un accord : en échange de notre silence et desprestations déjà effectuées par Martine, il efface la moitié de notre dette. Le reste fera l’objet d’un étalement sans qu’il puisse s’en prévaloir pour faire saisir la boutique ou l’appartement. Nous nous donnons rendez-vous le lendemain pour établir, sous seing privé, une nouvelle reconnaissance de dette. Après, il ne restera plus qu’à sceller définitivement le mur du dressing en attendant de changer le miroir sans tain par un vrai. Il va même venir m’aider pour s’assurer que je remplis ma part du contrat. Voilà notre histoire. Nous avons frôlé la catastrophe ; mais frôlé seulement. Depuis, Martine ne sait plus quoi inventer pour se faire pardonner. J’ai une bombe sexuelle, une femme ...
... attentionnée, et maintenant c’est de nouveau avec moi qu’elle teste ses tenues. Lorsqu’elle me fait l’amour, je ne peux m’empêcher de penser que, finalement, tous ces hommes lui ont appris beaucoup de choses en la soumettant à leurs désirs. Elle ne le sait pas encore, mais j’ai prévu d’installer un miroir – mais un vrai – dans notre chambre. Je brûle de la posséder face à lui, en levrette, et suivre dans la glace le cheminement du plaisir sur son visage. Car tout compte fait, si ma mémoire ne me fait pas défaut, c’est bien du plaisir et pas du dégoût que j’ai vu lorsqu’ils baisaient dans le salon d’essayage. La simulation a bon dos… Mais maintenant que l’orage s’éloigne, je peux comprendre qu’elle puisse avoir eu du plaisir avec ces hommes. Un jour je le lui demanderai. D’accord, Max lui a forcé la main en lui proposant cet échange : un prêt remboursable avec son corps. Mais elle aurait très bien pu m’en parler. On se serait débrouillés pour emprunter, et elle n’aurait pas eu besoin de lui céder. Moi, je ne peux m’empêcher de penser qu’elle y a vu une façon de changer son quotidien. D’autres hommes. Des amants sans lendemain, sans engagement. Des envies à satisfaire qu’elle n’osait pas m’avouer ? Peut-être qu’après elle a regretté. Et encore… Mais finalement je m’en fous. Je ne suis plus jaloux. Je ne suis pas rancunier. D’ailleurs, je me demande si je ne vais pas reprendre contact avec Max. Je verrais bien une partie à trois. Il n’y a pas de raisons que moi aussi je ne profite pas de la ...