1. Unités de compte


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, essayage, Collègues / Travail chantage, entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe exercice,

    ... magnifique. Elle est merveilleuse. On dirait une femme offerte, certaine de son pouvoir et qui va venir me combler. J’aime son œil brillant, sa prestance de coquine à la limite de la cochonne en manque. Elle me tourne le dos et quitte la cabine. Je garde la vision de ses fesses que je vais bientôt pouvoir caresser, et même claquer un peu dans l’excitation. Je me dépêche de pousser la porte du dressing et saute dans le lit tout en reprenant mon livre abandonné. J’attends. Déjà je vois son entrée. Va-t-elle faire la vamp aguicheuse ? Ou bien la petite fille perdue dans ce monde si dur qui demande des bras d’homme pour la protéger ? J’attends. C’est bien long ! Que fait-elle ? Elle n’a pas encore éteint l’éclairage dans la boutique, la lueur sous la porte m’en apporte la preuve. Je me relève, impatient et excité. La porte coulisse. La scène me saute à la gueule. Je ferme les yeux une fraction de seconde pour m’assurer que je ne rêve pas. Mais non, c’est toujours la même chose. Martine est toujours dans la cabine, mais la salope n’est pas seule. Deux hommes sont avec elle. Un me semble familier. Je le reconnais : c’est l’ancien propriétaire. L’autre m’est inconnu. Mais que font-ils ici, à cette heure et… Que font-ils ?est une question idiote. L’inconnu est déjà torse nu. Ma femme est occupée à défaire la ceinture du pantalon alors que des mains étrangères parcourent son corps. C’est un viol ! Une agression ! Mais comment sont-ils entrés ? Je sais : le proprio a gardé des clés. ...
    ... Mais non, ce n’est pas possible, j’ai moi-même changé les serrures. Et puis si c’était une agression, je verrais une arme, ou tout le moins une menace. Mais non, rien. Martine se débattrait alors. Mais elle ne le fait pas. Au contraire, ma femme semble tout à fait à l’aise avec ces deux hommes. Déjà elle s’agenouille pour aider le pantalon à descendre et l’extirper des jambes ; maintenant elle tire sur le slip. Non, elle ne tire pas vers le bas : elle l’écarte, élargissant la ceinture élastique pour que le sexe ne soit pas maltraité. La garce ! En plus, alors qu’elle fait glisser le tissu vers les pieds je vois très bien qu’elle détaille l’engin avant de lever la tête et sourire à l’inconnu. Oh, je peux être fier de mon travail. Les miroirs sont parfaitement positionnés. Le léger angle de décalage évite la répétition des reflets et je peux "admirer" ma salope de femme se comporter comme une putain. C’est avec l’assurance d’une putain qu’elle saisit le membre à peine érigé et le branle pour que petit à petit on ait l’impression que la queue pousse vers le haut. Pendant ce temps, l’ancien proprio – Max, je crois me souvenir – s’est dessapé et nous montre sa longue tige qui n’en finit pas. Il joue avec, la frottant à la base du cou de ma femme qui maintenant s’est mise à lécher l’inconnu. Les lèvres descendent, gobant la bite jusqu’à ce que la glotte la fasse s’arrêter. La salope la pompe bien plus profond qu’elle me le fait. Je comprends maintenant pourquoi le lit conjugal est ...
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