1. Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) (2)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Hétéro

    Il m’ordonna de venir avec lui. Nous sortîmes de la boîte. Une fois mon sac repris et il me guida vers un taxi. Je commençai plusieurs fois à vouloir résister mais son regard et le ton de sa voix firent que pour une fois je fis ce que l’on me dit. Je suis d’habitude si autoritaire... là je me retrouvai en terrain inconnu. Il regarda mes hanches valser sous ma robe de soie et mes bottes à talons hauts claquer sur les dalles. Où va-t-il m’emmener ? Je savais ce qu’il avait en tête et si cela ne me tentait pas je pouvais refuser, mais je le suivis, aussi docile qu’inquiète. ° ° ° Je vis son regard troublé. Nous montâmes à l’arrière du taxi. Tandis que je posai ma main droite sur sa cuisse je donnai une adresse au chauffeur, puis je tournai ma tête vers elle, avec un sourire : « - Ouf ! Enfin au calme, et enfin tous les deux, seuls. J’ai un ami qui a un studio pas loin, il m’a passé ses clés. Il est en voyage, il n’y vient que quelques fois dans l’année. On sera tranquilles. Et si tu remontais un peu ta robe pour me montrer tes jolies jarretelles - ne nie pas, j’ai senti que tu avais un porte-jarretelle, c’est plutôt rare de nos jours, ça me plait ! Il n’y a que des femmes qui ont du cran et du chien qui osent encore ça ! Et puis tu as de jolies cuisses, j’ai eu bien eu le loisir de les mater... » ° ° ° Ayant un peu trop bu je n’étais pas aussi résistante que je le suis d’habitude. Ses flatteries allaient loin. Un peu intimidée et ayant peur que le taxi me vit, je remontai un peu ...
    ... ma robe. Jeff m’aida avec sa main. Je lui fis un signe désignant le chauffeur. Il comprit très bien mais il s’en moquait. Il monta plus loin en caressant mon bas. Lorsqu’il arriva en haut, ce fut comme un électrochoc lorsqu’il toucha ma peau. Je tremblai un peu mais me laissai caresser le haut de ma cuisse. Une trémulation lui montra que j’étais excitée par cette sensation. ° ° ° Je caressai la chair nue et renflée de la cuisse au-dessus du bas, tandis que mon autre main attrapa sa nuque, la serra un peu, puis la ploya vers moi : je pris sa bouche, ma langue l’envahit, j’aspirai sa menteuse, la suçai. Je vis qu’elle avait les yeux brillants (était-ce l’effet des deux verres avalés très vite dans la boîte, ou l’excitation sexuelle ?) Mes doigts remontèrent et s’approchèrent du petit renflement qui ornait son entrecuisse. Elle était inquiète mais il faisait sombre. Le chauffeur ne pouvait voir les détails, le plafonnier était éteint, et puis ce type avait dû en voir d’autres... surtout la nuit, des couples, légitimes ou non, des exhibitionnistes, des échangistes, des dingues du sexe qui filent s’adonner à la débauche dans des établissements spécialisés. Sa timidité nouvelle - ou était-ce de l’appréhension - m’excitait encore plus. Pour un peu, j’aurais eu envie de l’exhiber à ce type ! Mais je sentais qu’elle n’était pas prête. Et puis comment l’exhiber à un autre alors que moi-même, je ne connaissais pas encore son corps ? En bon égoïste je n’avais pas envie de partager cette ...
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