Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) (2)
Datte: 09/11/2017,
Catégories:
Hétéro
... primeur ! ° ° ° Je me sens comme faible, comme une proie. Moi qui suis d’habitude si ferme et si froide, je me laisse peloter par un collègue. Sa main remonte plus loin en suivant la jarretelle qui retient le bas. Il a vite fait d’atteindre ma motte qu’il se met à caresser de façon experte et dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Je gémis et me cambre. Mes yeux sont fermés et ma bouche entrouverte. Je pose la main sur son poignet pour le freiner mais je le laisse faire. Mes jambes s’écartent lentement. Mes longues cuisses gainées de bas lui sont ouvertes. ° ° ° Mes doigts se posent délicatement sur le petit renflement que je commence doucement à masser. Elle a les yeux fermés, elle gémit, elle est conquise ! Je sens que sa petite culotte se mouille, je sens l’humidité sur mes doigts, qui traverse le fin tissu. Elle est à moi, elle va s’offrir. Je me penche et lui murmure dans le creux de son cou : « enlève-moi cette petite culotte, ma toute belle, offre-moi l’accès total à ton bijou. » Elle halète, elle a l’air éperdu. Je la sens se contorsionner : elle était en train de s’exécuter. Elle m’offre sa culotte, la posant dans ma main. Je la glisse dans ma poche, comme un trophée. J’adore qu’une femme fasse ça pour moi, c’est un geste tellement fort, tellement symbolique : elle me remet ainsi les clefs de son corps, disponible, ses orifices. J’ajoutai, histoire de donner le coup de grâce : « - Tu m’excites vraiment avec tes bottes. Il me tarde de te regarder en pleine ...
... lumière, uniquement vêtue de tes bas, de ton porte-jarretelle et de tes jolies bottes sexy... » ° ° ° Je le regarde avec les yeux grands ouverts comme si j’étais surprise, mais c’est en fait ce que je recherche. Ses mains fortes et décidées explorent mon corps à travers ma robe. Sans me demander l’autorisation il défait la fermeture à l’arrière. Blottie entre ses bras je le sens baisser ma robe sur une épaule puis sur l’autre. Il dévoile mes seins fermes et hautains. Mes tétons sont déjà durs et pointent au travers de la fine dentelle. Sa main gauche empoigne un de mes seins alors que la droite repart caresser mon mont. ° ° ° Hummmm... Elle a des seins encore bien fermes, cette chienne... Mais le taxi freina et le chauffeur nous avertit que nous étions arrivés. Tout excité et concentré sur ses appas, je n’avais vraiment pas fait attention à la route. Je la laissai refermer sa robe à la hâte, remballer ses seins, tandis que le chauffeur avait allumé la veilleuse. Vu son il égrillard et allumé aussi, je suis sûr qu’il avait aperçu des choses qui l’avaient émoustillé ! Je payai et nous descendîmes. Je la pris par la taille et l’entraînai. Je fis le code de l’immeuble, la porte cochère s’ouvrit ; il faisait sombre, nous nous engouffrâmes dans l’obscurité du porche. Je la plaquai contre le mur, là, dans le hall obscur. Je lui roulai à nouveau une pelle, me pressai contre elle, puis je lâchai sa bouche et lui ordonnai : « - Avance ! » Je la poussai pour lui faire monter le premier ...