1. Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) (2)


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Hétéro

    ... étage ; ma main soulevant légèrement et avec habilité le bas de sa robe légère s’offrit un passage : elle se posa sur sa fesse nue, et c’est ainsi que nous montâmes les marches jusqu’au premier pallier. L’escalier était heureusement désert. J’ouvris la porte, et la fis passer devant. J’allumai la lumière. L’appartement est moderne, propre et cossu, décoré avec goût. Il est chaleureux et sophistiqué. La voilà enfin devant moi en pleine clarté. Je n’ai qu’une seule envie : c’est de la voir dans cette lumière uniquement vêtue de ses bas et de ses bottes ! ° ° ° Nous voici donc dans l’appartement de son ami et je vois la baie vitrée qui offre une belle vue sur la ville. Je m’y dirige et sens son regard comme brûler mon fessier alors que je marche en me déhanchant. Mes talons claquent sur le sol. Il vient derrière moi et me prend dans ses bras. Je suis nerveuse car je me rends compte qu’après l’avoir allumé je suis maintenant à sa merci. Il ignore mes faibles protestations arguant du fait que je suis mariée, et autres. Il ouvre la fermeture éclair du dos de ma robe d’un coup et la fait tomber au sol. Je me retrouve en lingerie et bottes devant la baie vitrée, les fesses à l’air. ° ° ° Elle veut se retourner mais je lui intime : « - Reste comme ça, regarde la vue... pendant que moi je regarde aussi... la vue ! » Je fais un pas en arrière. Elle est vraiment bandante ainsi, sa robe à ses pieds, ses jolies jambes dans ses bottes, ses cuisses de nylon sombre, et ses fesses... et mon ...
    ... Dieu, quelles fesses ! Je ne peux que m’exclamer : « - Tu as un cul magnifique, un cul de reine, de déesse ! Il me fait de l’effet et me donne des envies de profanation ! » Je caresse ses fesses sublimes, elles sont douces, souples, élastiques. Je les palpe un long moment, elle se laisse faire sans rien dire, haletante. Soudain, je lui lâche : « - Tu as déjà été fessée ?! » ° ° ° Je suis contre la baie vitrée quasiment nue avec mes bottes et ma lingerie. Comme je ne réponds pas à sa question qu’on ne m’a jamais posée avant, je reçois une petite claque sur la fesse droite. Je pousse un petit cri. Un cri de douleur, de surprise, de choc face à cette audace. Je veux me retourner mais il dégrafe mon soutien-gorge rapidement. Il se colle contre moi me faisant sentir à quel point il est dur et fort. Chacune de ses mains prend un de mes seins et le masse. Il joue avec mes tétons. Mes talons hauts font remonter mes fesses et je suis juste à la bonne hauteur pour sentir son sexe dur dans la raie de mes fesses. Il me semble particulièrement épais et long mais je peux faire erreur. ° ° ° Collé contre elle, bien serré, je lui murmure à l’oreille, d’une voix sourde et affirmée : « Nous y voilà. Voilà le moment où le gibier est à la merci du prédateur. Tu sens l’effet que tu me fais, là, entre tes belles fesses ? Tu sens la femelle affolée et en chaleur... Et tes mamelons durcis que je suis en train de te tordre ne diront pas le contraire... » Là-dessus, ma main droite descend et empoigne ...