Les vacances d'Aurélie
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
extracon,
douche,
fsoumise,
hdomine,
vidéox,
Oral
69,
fgode,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
... comme ça !— Mais si, tu peux.— Si vous le dites, murmure-t-elle en s’exécutant.— Ah ! Pendant que j’y pense j’ai quelque chose pour toi.— Qu’est-ce que c’est ?— Ferme les yeux et penche-toi en avant en t’appuyant sur la chaise. Elle obéit. Il sort un plug qu’il a soigneusement choisi la veille. Il est de taille beaucoup moins imposante que celui acheté par Aurélie. Il ne mesure que douze centimètres de long dont dix insérables, pour un diamètre maximum de cinq centimètres. Il l’oint de lubrifiant, trousse la jupe et ajuste l’objet sur la rosette. Il vrille doucement. Les chairs s’écartent obligeamment et il faut à peine cinq minutes pour qu’il disparaisse dans les entrailles d’Aurélie. Il essuie soigneusement la place, ne voulant que la robe soit décorée d’auréoles suspectes, et rabat la jupe. — Voilà, tu es fin prête. Nous pouvons y aller.— Comme ça !— Bien sûr.— Mais…— Y a-t-il un problème ?— Non. Allons-y. D’un pas résolu, elle se dirige vers la porte et sort. Il la suit et ferme la porte. Ils se dirigent vers le métro. Alors qu’ils traversent un bout du Bois de Vincennes, Aurélie sursaute et lâche un « Oh ! » de surprise en portant la main à ses fesses. — J’avais oublié de te dire, il est vibrant avec une télécommande.— Ah ! répond-elle d’une voix enrouée.— J’ai trouvé que ce serait beaucoup plus plaisant ainsi, avec plein d’expériences inédites, ne crois-tu pas ? Aurélie reste quelques instants songeuse, avant de répondre : — Pour sûr. Ils reprennent le chemin. Dans ...
... le métro, elle n’est pas très à l’aise pour s’assoir. Elle se dandine un peu. Ils descendent à Champs-Élysées-Clémenceau pour aller visiter le Musée des beaux-arts de la Ville de Paris au Petit Palais. Alors qu’ils sont dans la queue, il déclenche des vibrations. Elle ne s’y attendait pas et sursaute de nouveau, mais réussit à ne pas porter la main à son postérieur. Elle rougit et regarde d’un air éperdu Bernard, qui sourit. Elle se ressaisit et lui sourit en retour. Au cours de l’après-midi, au musée, puis quand ils se promènent, de temps à autre, il déclenche les diaboliques vibrations. Aurélie n’est plus surprise, mais elle ne peut s’empêcher de tressaillir ou de frissonner, surtout lorsqu’il fait durer la chose. Le temps passant, il est bientôt l’heure de rejoindre Montreuil pour le dîner avec la famille d’Aurélie. En arrivant elle se rend aux toilettes. Après avoir satisfait ses besoins naturels, elle pense ne pas remettre le plug, elle se sent mal à l’aise de l’avoir au milieu des siens. Le problème c’est qu’elle ne sait qu’en faire. Son sac est trop petit et elle ne peut le mettre dans le réservoir d’eau car celui-ci est encastré et il lui faudrait des outils pour y accéder et avec ses circuits électriques et ses piles elle a des doutes quant à une immersion. Le placard des toilettes est trop aléatoire. Il y a trop de risques qu’il y soit trouvé. Elle n’ose imaginer la réaction paternelle en cas de découverte. Déjà qu’il a fait une allusion quant à son absence de ...