1. Les vacances d'Aurélie


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, douche, fsoumise, hdomine, vidéox, Oral 69, fgode, préservati, pénétratio, fsodo, fouetfesse,

    ... soutien-gorge. Elle opte donc pour le remettre dans son nid. Bien sûr Bernard ne se prive pas de déclencher les vibrations. Heureusement, le bourdonnement est pratiquement inaudible. Aurélie parvient à garder bonne contenance, malgré les sensations qu’elle ressent au fond d’elle-même et même au fondement d’elle-même. À plusieurs reprises elle doit presque se mordre les lèvres pour ne pas laisser échapper des soupirs. Elle a hâte que le repas finisse, pour enfin rentrer avec Bernard pour cette dernière nuit. Ce dernier qui discute avec ses parents et ses amis tarde un peu à donner le signal du départ. Aussi accepte-t-elle lorsque sa sœur Élise lui propose de venir voir ses achats. Elle lui demande son avis sur le pantalon et le chemisier qu’elle s’est achetés. Aurélie lui fait compliment en lui disant que cela lui va à ravir et qu’elle aime bien l’ensemble. Après l’essayage, Élise toujours en sous-vêtements demande : — Ta robe me plaît vachement, je voudrais l’essayer avant d’en prendre une moi aussi demain avant de partir. Tu pourras essayer mes achats pendant ce temps.— Oui ! bien… Aurélie s’arrête au milieu de sa phrase en réalisant que sous ladite robe elle est nue, sans compter le plug dans le cul. Sa sœur la regarde avec surprise avant de rire : — Si c’est parce que tu n’as pas de soutif, tu sais, je les connais tes nichons. Tiens, je retire le mien, parce que c’est vrai que c’est mieux sans, avec ta robe. Entre la fois dernière et aujourd’hui y a pas photo.— Euh… C’est ...
    ... que…— Dépêche-toi, avant que tu doives partir. Je vais t’aider. Et joignant le geste à la parole elle commence à soulever la robe. Elle se fige : — Mais, t’as pas de culotte !— J’avais trop chaud.— Et tu t’es trimbalée comme ça toute la journée.— Non ! Cet après-midi seulement.— Cet après-midi seulement ! Aurélie, au point où elle en est, préfère abréger. Faisant bien attention de bien rester de face, il ne manquerait plus que sa sœur remarque le plug, elle finit de retirer elle-même sa robe et la passe à sa sœur en disant : — Faisons fissa. Je ne peux pas rester comme ça longtemps, si quelqu’un entrait.— Merci. Essaie mon pantalon et mon chemisier. Aurélie les enfile. Elle les trouve confortables. De son côté la sœur est convaincue d’aller se chercher une robe avant de rentrer au bercail, du même modèle, mais dans un coloris différent, s’accordant mieux avec ses cheveux plus clairs. Les frangines commencent à se déshabiller, quand Bernard fait fonctionner la télécommande, à tout hasard ne sachant pas si la portée est suffisante. Aurélie qui ne s’y attendait plus est surprise et ne peut s’empêcher d’émettre un grognement sourd. Élise lui demande : — Qu’est-ce qui t’arrive ?— Rien… Rien… Je me suis mordu la joue. Elles finissent de se dévêtir et remettent leur robe. — Vas-y, le temps que je range mes affaires, dit Élise.— Je peux t’attendre. Élise plie et range le chemisier, puis s’attaque au pantalon. Elle s’arrête en rigolant : — Eh bé ! Ça te fait de l’effet de te promener ...