Départ de feu
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
uniforme,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
... l’espion progresse, sachant manifestement où aller. Un quart de seconde plus tard, la place est prise. Enfin… partiellement. Non pas que j’aie des attributs hors normes, mais la main est petite… et sa présence a des effets secondaires. Voire primaires ! — Dites donc, vous m’aviez caché une partie des informations, tout à l’heure, dit-elle en relevant la tête et en plantant un regard presque rude dans le mien. Mais, au hasard de la lumière qui traverse le feuillage, j’y découvre également des pétillements de malice.— Je préférais sans doute que vous posiez les questions, j’ai l’impression que vous savez mettre le doigt sur les points importants.— Alors ne me cachez rien, reprend-elle, presque autoritaire. Je ne vois pas comment je le pourrais, le geste lancinant qu’elle impose à mon membre est sans équivoque. Et, de fait, je lui en cache de moins en moins ! Voilà une situation pas banale ! J’ai dormi une heure, été réveillé en sursaut, et quinze minutes plus tard je subis les assauts étonnants d’une fonctionnaire zélée alors que ses collègues s’escriment de l’autre côté du mur. Et, détail cocasse, j’ai toujours les pieds nus ! Mais allez donc interrompre un tel ’interrogatoire’ ! Surtout que Fathia le mène de main de maître. Collée à moi, elle semble s’imprégner de la chaleur de ma couette qui doit encore m’envelopper un peu tout en laissant sa main me masser en gestes amples et fermes. J’ai le nez dans ses cheveux, quel dommage, elle sent la cigarette… Mais non, c’est ...
... l’odeur du feu, de celui-ci et sans doute d’autres au cours de la nuit. Ah, belle et énergique femme ! Mon héroïne prend du galon à mes yeux et, m’étonnant moi-même, je la presse contre moi d’une main sur ses fesses. Un instant elle se fige, puis elle reprend avec plus de force encore son infernal va-et-vient. J’ai oublié le froid initial de sa main ; d’ailleurs, vu l’agilité des doigts, sa peau a sûrement atteint la température de la mienne, et cette ’bestiole’ à cinq pattes qui court d’un bout à l’autre de ma hampe, qui pétrit, agace, tapote et étire est une sensation délicieuse. Délicieuse oui, mais ô combien excitante ! Entre l’exhibition involontaire, ce moment de tension urbaine et cette petite caresse coquine, je me sens capable de tout avouer dans quelques secondes. Il me faut faire diversion. — Dites, vous ne seriez pas en train de faire de la subornation de témoin ? dis-je en soulevant son menton. Sa main s’est plaquée un instant sur ma hampe, pourvu qu’elle ait compris la plaisanterie… Puis ses doigts m’encerclent avec encore plus de fermeté et démarrent une franche masturbation. Ce n’était jusque-là que massage, me voici agrippé et compressé de plus en plus vivement. En d’autres occasions, je trouverais le geste un peu brusque mais, bizarrement, je me laisse faire à ce jeu plutôt rude. Et s’il m’était venu à l’idée de rechigner, la réplique de ma partenaire aurait suffi à me faire taire. — Non seulement ce n’est pas de la subornation, mais dans l’état où je vous sens je ...