1. Départ de feu


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, inconnu, uniforme, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu,

    ... qu’il pourrait déranger. L’hypothèse m’amuse. Je termine mon invasion de Nadia d’un dernier mouvement un peu vif. — Ohh, lâche-t-elle de façon plus sonore. Elle se tourne vers moi d’un air horrifié. De l’autre côté, l’agent se racle la gorge. — Hum… C’était pour le tuyau, vous préférez peut-être que je le passe par-dessus le mur… pour… pour pas vous déranger. Décidément, il est plus qu’attentionné, le bonhomme. Nadia a compris et se met à pouffer. Plus par jeu que par remontrance, je la pilonne d’un coup qui la colle à l’arbre. — Salaud, lâche-t-elle dans un souffle, mais avec un sourire qui montre qu’elle n’en pense pas un mot. Alors, libéré dans ma tête et bien décidé cette fois à ne pas vivre un coïtus interruptus, je plonge avec ardeur dans les chairs de ma belle victime qui ne se plaint que de manière fort langoureuse. J’imagine de l’autre côté du mur les pensées de l’homme de loi, réduit à un voyeurisme aveugle. Ne jouons pas trop avec le feu toutefois, ça suffit pour ce soir. — Ah, oui, vous disiez… le tuyau… oui, attendez que je m’approche pour le réceptionner. En fait d’approche, les bruits que notre interlocuteur entend sont plutôt ceux d’une charge. Une charge légère, je ne sais pas, mais héroïque peut-être, érotique sûrement, à l’assaut de gorges et de défilés inconnus. Nadia a bien des difficultés à rester agrippée à l’arbre tant je la brutalise avec un plaisir partagé. J’en aurais presque oublié le côté purement endocrinien qui me poussait à presser le ...
    ... mouvement, mais décidément on ne joue pas impunément avec le feu… — Vous n’avez rien à craindre, je l’ai parfaitement éteint, insiste l’homme au tuyau. Parce que, si on ne fait pas attention, il continue de couver et il finit par vous péter à la gueule, vous savez ! Je comprends, il voudrait bien partir, le brave homme, et moi j’ai tendance à l’oublier, focalisé par ce qui risque de nous péter, mais pas à la gueule… Et puis, si je ne veux pas que Nadia s’arrache les mains sur l’arbre… — Bon, ben alors, on envoie tout ! annonçai-je à tue-tête. Et, dans la seconde, je plaque Nadia contre l’arbre qui n’en a peut-être jamais connu autant, déversant en elle les effets de toute la tension de la soirée. Ma main sur sa bouche n’était pas superflue. Hormis le plaisir de cette douce domination, je pouvais la pilonner sans trop craindre que ses plaintes ne deviennent indécentes. De toute façon, je crois que notre voisin de soirée avait décidé de faire la sourde oreille, et il sifflotait en renvoyant le tuyau avec le plus de vacarme possible. Lorsque le dernier morceau de tuyau retombe de notre côté du mur, seules nos respirations trahissent l’instant de folie lubrique que nous venons de nous offrir. Nous avons envie de rire, je crois même que Nadia a, comme moi, envie d’embrasser ce complice inattendu. Nous restons quelques instants enlacés, enfiévrés, vidés. Puis je décide de reprendre un peu mes esprits. Abandonnant égoïstement Nadia, je me dirige vers le tuyau et vers le mur. — Merci pour ...