1. Foulure Pacifique


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, hagé, fagée, inconnu, vacances, fdomine, Oral pénétratio,

    ... perruque. Mais faisons fi de tous ces détails sordides. Boiriez-vous un rafraîchissement, mon ami ? Question purement rhétorique, elle s’était levée et de sa démarche élégante, se dirigeait vers une porte… de plus. Les yeux de Patrice ne pouvaient se détacher de cette croupe magnifique qui s’éloignait dessinant des 8 évocateurs ! Que n’avait-il quarante ans de moins ! Il l’aurait suivie et l’aurait prise de nouveau, à la hussarde. Avant qu’elle ne quitte la pièce, Flamberge aurait percé ses défenses. Bien que son désir fût toujours aussi intense, l’intendance ne suivit pas. Avant de quitter la chambre, elle se retourna et lui sourit l’air de dire « On a bien le temps ! ». ********** Brève absence, le temps pour Patrice de retrouver ses esprits et une position assise. Elle posa, sur un chevet qui jouxtait le lit, un plateau sur lequel se trouvait un verre empli d’une boisson ambrée. Elle s’installa face à lui, l’attira vers elle et l’embrassa goulûment. Tout en négociant ce baiser aux virages serrés, elle s’ingénia à passer ses jambes de part et d’autre du bassin de l’homme. Elle fit tant et si bien qu’in fine, elle se retrouva assise sur Patrice, jambes croisées derrière son dos, mont de Vénus pesant contre une hampe plutôt flasque. D’une main sûre, elle s’en saisit et la glissa dans sa vulve. — Je veux sentir votre sexe gonfler en moi. Elle s’empara alors du verre et y ficha deux pailles argentées. — Buvons à notre amour, Patrice. À notre amour ! Elle allait vite en besogne. ...
    ... Ils avaient baisé, bien, même très bien, mais c’était un peu court pour parler d’amour. Comme si elle avait lu dans ses pensées, elle reprit : — Je suis audacieuse, Patrice, mais je vous aime et je suis sûre que vous m’aimerez aussi… bientôt. On ne contredit pas une dame quand on a sa bite fichée dans son vagin. Même si, pour l’instant, ladite bite ne faisait pas la fière. Elle plaça le verre entre ses seins. Chacun tétant/tirant sur sa paille, ils vidèrent le verre. Il aurait été incapable de dire ce qu’il avait bu, mais c’était agréable au goût. Probablement alcoolisé, car une douce chaleur l’envahissait. Charlotte se débarrassa promptement du verre et reprit son baiser. Simultanément, son bassin ondula contre le pubis de l’homme. Flamberge revenait aux affaires. La rapidité de la chose étonna Patrice, mais il était trop occupé à pétrir les seins de sa belle Aussie pour se poser des questions. Flamberge enflait, enflait. Si elle continuait ainsi, elle n’exploserait peut-être pas telle la grenouille de la fable, mais elle allait se répandre. Et ce second épisode inespéré se transformerait en Waterloo morne plaine. Le bateau… le matelas tanguait, tanguait. Patrice s’accrochait aux nénés de sa belle comme à des bouées. Charlotte, les jambes en pression sur le matelas, jouait à « je la vois, je la vois plus » dans un rythme qui tenait plus du rock que du tango. Pour une grande malade, elle avait une sacrée forme. Elle ne cessait pour autant de l’embrasser. Lui bloquant la tête ...
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