Foulure Pacifique
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
inconnu,
vacances,
fdomine,
Oral
pénétratio,
... genou, rien à dire. Les effets du vieillissement se manifestaient au niveau des cuisses et des fesses où malgré ses pratiques sportives, la peau se relâchait au grand dam de Marie-Agnès. Elle avait toujours été très fière de la fermeté de son petit cul, mais depuis deux ans, elle ne portait plus de string, seulement des culottes. Pas des culottes Petit-Bateau en coton, loin s’en faut ! Non, de la culotte sexy, suggestive, mais renforcée afin de maintenir ses fesses. À défaut de lui montrer son cul, elle se rattrapait avec sa chatte. Toutes ses culottes étaient d’une transparence douteuse. Au bout de deux ou trois jours, il ne pouvait plus ignorer que sa toison se réduisait à un petit cœur teint de la même couleur que ses cheveux. Son salut venait des bras et des mains. Manucures et esthéticiennes ne pouvaient rienpour réparer des ans l’irréparable outrage. Ses doigts si élégants laissaient voir leurs articulations et surtout, le summum, la peau de ses bras s’affaissait. Patrice s’accrochait à cette image pour faire tomber son excitation. Difficile quand sa salope de bonne femme, sous prétexte qu’il faisait très chaud, dormait en petite culotte. La première année, il avait eu le malheur de lui conseiller un peu de décence, elle lui avait répondu fort élégamment : — À la maison, je pourrais traverser la maison, à poil, avec un gode dans le cul, l’autre dans la chatte en chantant le chant des partisans que ça ne te ferait pas lever le nez de ton écran. Fin de la discussion. ...
... D’où ce calvaire quotidien. Pour compenser ce stress et retrouver un peu de sérénité qui lui permettrait de profiter pleinement de ses petits-enfants, chaque matin, après un petit déjeuner rapide, il partait pour une rando d’une dizaine de kilomètres. Autre avantage, comme il était préférable de marcher à la fraîche, il évitait la répétition du spectacle du soir. Les jours où le temps l’empêchait de sortir, s’il pouvait généralement squeezer le strip-tease à l’envers, il devait par contre subir les « mamours », devant sa fille, d’une Marie-Agnès, savamment déshabillée et très amoureuse. Mamours faits de frottements aguicheurs, de visions affriolantes qui lui donnaient invariablement une trique d’enfer difficilement dissimulable. Un jour, hilare, Marie-Cé avait dû « leur » rappeler qu’il y avait des enfants dans la pièce. Lors de ses balades matinales, il empruntait invariablement leboardwalk, une voie aménagée pour piétons et cyclistes qui longeait la plage sur plusieurs kilomètres. En ce lieu très fréquenté à cette heure, il croisait de nombreux promeneurs, des femmes pour la majorité. Il avait classé cette gent féminine en plusieurs groupes : des jeunes personnes à la plastique intéressante s’entraînant pour un quelconque marathon, des mémères promenant Médor et, essentiellement, des nanas de tous âges qui menaient un combat perdu d’avance contre l’avancée des kilos. Les nanas entre cinquante et soixante ans appartenaient pour la plupart à cette dernière catégorie. Pour cette ...