1. Foulure Pacifique


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, hagé, fagée, inconnu, vacances, fdomine, Oral pénétratio,

    A Karlotta, Gräfin von Königsbergstein,Étrange comtesse virtuelle. « Les enfants sont merveilleux ! » s’exclamait Jacques Martin dans sa célèbre école des fans. Et les petits-enfants encore plus, bien évidemment. Tout est histoire de dosage. Patrice se targuait d’être un bon grand-père, mais au bout de quinze jours, il ressentait le besoin de s’aérer. S’il ne s’était agi que des enfants, mais il devait supporter sa femme, enfin son ex. Sa fille était censée ignorer que, en France, ils vivaient chacun de leur côté. Un peu compliqué, n’est-il pas ? Éclaircissons la situation. Mariés depuis une quarantaine d’années, la seule chose que partageaient encore Marie-Agnès et Patrice en 2016 était leur maison. Depuis plusieurs années, ils faisaient chambre à part, chacun vivant sa propre vie à l’exception de deux mois d’hiver qu’ils passaient, en été, chez leur fille unique, Marie-Cécile. Elle avait épousé un kiwi et vivait en Nouvelle-Zélande. Marie-Agnès, pour on ne savait quelle raison (Patrice préférait ne pas approfondir), ne voulait pas que leur fille connaisse la réalité de leur vie en France. Depuis leur retraite, de la mi-janvier à la mi-mars, leur couple, hypocritement, renaissait l’espace des deux mois chez leur fille. La journée, les premiers jours, le plaisir de retrouver leurs petits-enfants occultait tous les problèmes. Ceux-ci resurgissaient, dès la nuit venue, dans la chambre conjugale où ils devaient partager le même lit. Ce tête-à-tête se terminait inexorablement par ...
    ... un cul à cul. Patrice n’avait rien d’un moine or durant leur séjour, il devait pratiquer l’abstinence. Même la plus petite branlette lui était impossible. Son orgueil lui interdisait de se masturber à côté de son ex et il estimait avoir passé l’âge de faire ça à la sauvette dans les toilettes. Dormir dans la même couche que cette femme qu’il avait aimée, qu’il désirait encore, devenait rapidement un calvaire. Et sa garce de femme jouissait de cette envie qu’elle faisait naître et en rajoutait. Tous les soirs, il avait droit à un strip-tease, très orchestré. Marie-Agnès malgré ses soixante printemps révolus restait une belle femme qui prenait soin de son corps. Blonde, pas très grande, elle conservait une silhouette svelte qu’elle entretenait par la pratique de la GRS et du rock acrobatique. Patrice, pour garder son self-control, se concentrait sur les ravages causés par la vieillesse sur l’anatomie de Marie-Agnès. La tâche s’avérait malaisée. Son unique grossesse n’avait laissé aucune trace, pas la moindre disgracieuse vergeture ne « défigurait » son ventre toujours plat. La peau de celui-ci lui paraissait aussi douce qu’avant. Il ne pouvait rien reprocher non plus à sa poitrine. Leur relative modestie, qui avait complexé sa femme, se révélait un atout aujourd’hui : ses petits seins ronds n’avaient rien perdu de leur tonus et tous les soirs, il devait supporter leurs tétons narquois pointant vers le plafond. Il trouvait matière à critique sur l’état de ses jambes. Du pied au ...
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