Foulure Pacifique
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
inconnu,
vacances,
fdomine,
Oral
pénétratio,
... Marie-Agnès échevelée. Dressée sur ses ergots, enfin sur ses talons, elle l’avait accusé, sous le regard amusé de leur fille, d’être allé satisfaire ses bas-instincts auprès des prostiputes locales. Folle de rage, elle le fustigea sur ses envies de gros culs, de seins pendouillants, de chattes poilues. Il ne l’avait pas vue dans cet état depuis le jour où elle avait découvert qu’il la trompait avec Sonia, sa meilleure amie. Mais, y’avait prescription. Il est vrai que jamais à Gisborne, il ne lui avait donné l’occasion d’être jalouse. Jalouse, il n’en revenait pas. À longueur d’année, elle couchait avec tout mâle bien doté qui passait à sa portée. C’est du moins ce qu’elle lui racontait. La crise qu’elle avait piquée lui posait question. Le soir, au moment du coucher, changeant de tactique, elle avait tenté de le vamper. Elle avait mis le paquet : lingerie affriolante, maquillagead hoc, attouchements sans équivoque. Elle n’avait jamais été aussi loin. N’eût été Charlotte, le sentiment amoureux qu’il éprouvait, et accessoirement le fait d’avoir puisé largement dans ses réserves, il aurait sans doute cédé à ses avances. Marie-Agnès s’était montrée très convaincante, câline à la limite du supportable. Elle avait été jusqu’à lui poser une main inquisitrice sur une bite qui resta de marbre… de marbre n’était peut-être pas la bonne expression vu l’état de fatigue de Flamberge. Si en temps normal, ses manigances titillaient sa libido, après ses ébats avec Charlotte et les sentiments ...
... qu’il éprouvait, elles n’avaient aucune chance d’aboutir. Patrice l’avait jetée, avec cependant un zeste de culpabilité. Égale à elle-même, elle l’avait ensuite traité de noms d’oiseaux. Elle avait renouvelé ses accusations sur une prétendue maîtresse autochtone. Ce qui avait déclenché un grand rire intérieur. Autochtone, sa maîtresse… Mais ce matin, marchant d’un pas allègre sur le «boardwalk », il allait retrouver Charlotte : ils s’aimaient. Les jérémiades de sa femme lui importaient peu, bien qu’une remarque de sa fille (maman est toujours amoureuse de toi) lui restât en travers de la gorge. Dans sa ford intérieure, il se disait qu’avec Charlotte, c’était un peu rapide, mais comme elle le lui avait dit, elle était malade et le temps lui était compté. Patrice ne se reconnaissait plus, lui si routinier, se sentait prêt à toutes les folies. Lorsqu’il arriva devant la maison de sa dulcinée, son imagination voguait sur des lagons bleus, des plages de sable fin, des câlins iodés. Il sonna. Pas de réponse. Il recommença, impatient. Toujours pas de réponse. Une troisième fois, anxieux. Silence radio. Inquiet, il tenta de voir par-dessus le mur. En sautillant stupidement, il constata que tous les rideaux étaient baissés. Aucun signe de vie. Charlotte avait dû avoir de nouveau un malaise, une crise. Il fallait qu’il entre. Pourvu qu’il n’arrive pas trop tard. Le portail montait trop haut, mais l’enceinte n’était pas infranchissable. Indifférent au fait qu’on puisse le prendre pour ...