Les démons de Noémie (6)
Datte: 27/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... que seulement une était encore rangée. — « Entrez, mademoiselle, on va pas vous manger ! », dit l’un des deux hommes. Ils portaient des pantalons de chasse et des bottes. Ils étaient tous les deux gras. L’un avait un visage rond très rouge et une barbe courte poivre et sel. Des lunettes très épaisses grossissaient ses yeux globuleux noirs et il n’avait pratiquement plus de cheveux sur la tête. Il était torse nu et son ventre graisseux et énorme pendait par-dessus sa ceinture. L’autre avait une énorme moustache brune, des lunettes également, un front très dégarni et ses cheveux plaqués en arrière. Des poils dépassaient du haut de son débardeur vert. La jeune philippine sentit monter son « trouble » rapidement et comprit en un instant que les deux hommes la désiraient. Et elle sut aussitôt pourquoi : sa chemise blanche trempée était devenue totalement transparente et dévoilait aux deux chasseurs ses seins libres sans soutien-gorge. — « Asseyez-vous, je vous en prie », dit le moustachu. — « Vous allez attraper froid avec cette chemise mouillée. Il faudrait l’enlever pour la faire sécher et vous essuyer un peu », ajouta l’autre homme. Il saisit une serviette accrochée à un pan de mur derrière lui et stoppa net. La jeune femme avait commencé à déboutonner sa chemise et exposait ses tétons dressés et durs. Le moustachu se servit un verre de vin qu’il avala d’un trait. Le rougeaud, sa serviette à la main, ne bougeait plus. Le vêtement transparent finit par tomber à terre. — « Votre ...
... short aussi est mouillé... », lâcha le barbu, après de longues secondes de stupeur. Noémie dégrafa le short qui tomba au sol. Elle fit un pas en avant et se tint en culotte et tennis devant les chasseurs qui bandaient ostensiblement. — « Maintenant, on va vous réchauffer... », lança le moustachu. — « C’est con que Bébert soit pas là... », dit l’autre homme. — « On s’en branle ! » Ils s’approchèrent de la belle asiatique, chacun d’un côté. Le moustachu enfonça sa langue dans la bouche pulpeuse de la belle philippine tandis que le rougeaud avait mis une main dans la culotte blanche et malaxait fermement ses fesses. Son ami caressa les seins de la jeune femme, l’un après l’autre, tout en continuant de l’embrasser. Le barbu entreprit de branler la jeune femme en insérant sa main entre ses cuisses. Noémie poussait des petits gémissements. Elle était totalement soumise. — « Ramène le matelas ! », ordonna le moustachu. L’autre alla au fond de la cabane et prit un vieux matelas usé et sale, adossé contre le mur et le jeta devant la table. En passant, il prit la bouteille de vin. — « Pour se donner des forces ! », s’esclaffa-t-il. Ils enlevèrent leurs bottes, leurs pantalons et leurs caleçons mais le moustachu garda son débardeur. Noémie s’accroupit au milieu du matelas et commença à branler les deux hommes debout de chaque côté. Ils s’avancèrent et elle les suça vigoureusement à tout de rôle. Les deux chasseurs, ravis, se passaient la bouteille de vin en savourant. — « Ah ben merde ...