Le Cul de Maman
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Je compris ce qui se passait et en même temps je m'efforçais de penser à autre chose. Le petit déjeuner se passa sans qu'elle ne dit un mot, et puis quand j'eu vidé mon bol de café elle me demanda: « ça t'ennuie de me remettre de la vaseline? » « Heu...non maman, je vais t'en mettre. » Elle se leva alors et se dirigea vers sa chambre. Je me levais çà mon tour, je lavais mon bol dans l'évier, mon couvert, etc. Prenant bien mon temps pour faire les choses avant de la rejoindre dans sa chambre. Je la trouvais allongée sur le lit, les fesses à l'air. Sur la table de nuit, il y avait le tube de vaseline. Je m'en emparais, et m'en tartinais l'index et le médius, ensemble avant de me pencher sur les fesses rondes et dodues de ma mère. Elle écarta elle-même ses fesses, me présentant son sphincter sombre et ridé, serré, je le pressentais, mais qui ne résisterait pas à la pénétration de mes doigts. Cette fois j'étais plus sur de moi, j'approchais mes doigts, je caressais le sphincter de la vaseline, je l'étendis en tournant mes doigts autour du trou, je massais la chair sombre un moment sans essayer la moindre pénétration. Puis je me relevais-je remis de la vaseline sur mes doigts et je recommençais, mais cette fois je forçais davantage et j'eus la surprise de voir l'anus de maman rendre les armes et s'ouvrir à la pénétration de mes doigts sans que je n'aie à forcer. Elle poussa une espèce de gémissement quand mes deux doigts ensemble lui ouvrirent les fesses. Le tête toujours ...
... enfouie dans l'oreiller, elle me cacha son visage pendant que mes doigts entraient en elle en imprégnant son cul de vaseline. Cette fois j'avais plus de maitrise, je fis entrer mes doigts bien profondément et puis je commençais à tourner mes doigts sur eux même. De plus en plus loin et de plus en plus vite aussi, je me surpris même à imprimer un petit mouvement de va et vient et je sentis alors que maman resserrait son sphincter sur mes phalanges. Je continuais mon doigtage jusqu'à ce qu'elle me dise d'arrêter, mais l'ordre vint plus tard me sembla-t-il que la première fois. Comme la première fois, je la laissais seule dans son lit. Cette fois elle garda le visage enfouit dans l'oreiller et ne leva pas le regard sur moi. Je fis ma toilette comme la semaine d'avant, j'entendis les bruits de la chasse d'eau et maman qui fit sa toilette à son tour. Elle me dit par la suite que je la soulageais bien, je lui répondis que j'en étais content de pouvoir la soulager et qu'elle n'hésite pas à me le demander. Elle me le promit. Ainsi une semaine encore passa et puis un matin je vis son visage fripé. Je lui dis que j'allais l'aider, d'aller m'attendre dans sa chambre, que j'allais venir d'un moment à l'autre. Je la trouvais comme d'habitude allongée sur son lit, elle n'avait que sa chemise retroussée à la taille, ses fesses nues et blanches dans la pénombre du matin offertes à mes caresses. Le tube de vaseline était la, sur la table de nuit. Je fis jaillir le produit blanchâtre sur mes doigts ...