1. L'ordinateur complice


    Datte: 28/06/2021, Catégories: fh, extracon, voisins, groscul, poilu(e)s, ffontaine, Oral pénétratio,

    Nous étions au mois de juin et en ce début de printemps le soleil réchauffait agréablement l’atmosphère et le moral de la population. Dans les rues les filles, heureuses de vivre, allaient et venaient dans des tenues légères qui laissaient apparaître soit le début d’une gorge blanche, soit un mollet nerveux, soit même la naissance d’une cuisse fuselée. Les hommes, eux, lorgnaient ravis ce que leurs compagnes dévoilaient si généreusement, fantasmant sur ces appas devinés. Profitant de mon samedi matin, je m’occupais à diverses tâches dans l’appartement. De son coté, Martine mon épouse se préparait pour se rendre à son rendez-vous chez le coiffeur, comme elle le faisait une fois par mois. Soudain la sonnerie de la porte d’entrée nous fit sursauter. Plus véloce que moi, Martine alla ouvrir. Continuant mes travaux, je n’en tendais pas moins une oreille attentive, curieux de savoir qui pouvait nous rendre visite en ce samedi matin. — Michèle, quel hasard ? Michèle était notre voisine de palier avec laquelle nous avions sympathisé. C’était une femme d’une trentaine d’années, dodue sans être vraiment grosse, mais néanmoins bien en chair. Elle possédait un visage rond, agréable, que ses cheveux mi-longs amincissaient quelque peu. Deux yeux noisette éclairaient son regard d’une lueur malicieuse. Un nez un peu fort aux narines palpitantes et une bouche aux lèvres épaisses donnaient à ce visage une forte sensualité. Avec quelques kilos de moins, Michèle aurait pu être une très belle ...
    ... femme. De sa robe légère à manches courtes jaillissaient deux bras potelés, tandis que sa poitrine gonflait outrageusement le devant du vêtement. La jeune femme devait utiliser un soutien-gorge de grande taille. Sa robe imprimée se plaquait étroitement sur des hanches larges, soulignant un ventre rebondi et une croupe incroyablement pulpeuse. Lorsqu’il m’arrivait de me trouver par hasard derrière mon accorte voisine dans l’escalier, le balancement sensuel de cette croupe aguichante m’échauffait le sang. La jeune femme possédait un derrière à l’image de son opulente poitrine. Elle n’était pas particulièrement belle, mais je me sentais étrangement attiré par ses formes exceptionnelles. Il m’arrivait de plus en plus souvent, lorsque je faisais l’amour à Martine, mon épouse, de m’imaginer que je m’épanchais dans le ventre ou entre les fesses de notre aguichante voisine. Cependant, dans l’entrée le dialogue continuait : — Je m’excuse de vous déranger, s’exprimait Michèle. Je dois aller passer des examens au laboratoire, et comme mon mari a dû aller voir sa mère, qui n’est pas bien, je voulais savoir si tu pouvais me garder Patrick. Je ne peux l’amener avec moi.— Mais bien sûr, accepta Martine, qui ne savait jamais refuser un service à qui que ce soit. Je dois aller chez le coiffeur, mais ça ne fait rien, Salvatore gardera ton fils.— Ça ne va pas l’embêter ? s’inquiéta Michèle. Mais je n’en ai que pour une demi-heure tout au plus. Et c’est ainsi que je me suis retrouvé promu « nounou ...
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