L'ordinateur complice
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
groscul,
poilu(e)s,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
... Penchée sur le dossier du siège sur lequel son fils se démenait, Michèle, prise par le jeu, se mit à encourager son rejeton, l’aidant de la voix à combattre les méchants dragons : — Attention ! Là, à droite, à droite. Attention, en voilà encore un ! Là ! Stimulée par la bataille à laquelle se livrait son fils, la jeune femme ne tarda pas à s’agiter fébrilement. À se démener ainsi, elle ne se doutait pas qu’elle m’offrait un spectacle terriblement affriolant. Amusé et de plus en plus excité, je suivais d’un œil concupiscent le ballet érotique de l’opulent derrière qui remuait en tous sens. La gorge nouée par ce spectacle d’une rare lubricité, j’éprouvai alors le désir sournois d’empoigner ces hanches plantureuses qui ondulaient d’une manière terriblement suggestive. Certaines paroles de ma femme, au sujet de notre voisine, me revinrent en mémoire. D’après ce qui se disait çà et là, Michèle n’était pas considérée comme un modèle de vertu, et certaines mauvaises langues lui prêtaient de nombreuses aventures extraconjugales. Or, si ces différentes rumeurs m’encourageaient à oser un attouchement précis, la crainte que tout ce que l’on pouvait dire au sujet de la jeune femme soit faux me retenait encore. Mais le ballet bouleversant de cette croupe tant désirée, tel un appel à assouvir mon désir, finit par me faire rejeter toute prudence. M’approchant de la femme par derrière, j’osai refermer avec émoi mes deux mains autour de ses hanches potelées. Le cœur battant la chamade, je ...
... perçus avec émotion, sous le léger tissu de la robe, la fermeté des chairs féminines. Alors que je m’attendais, inquiet, à ce que Michèle me repousse, scandalisée par mon audace, j’éprouvai un intense plaisir à constater que cette dernière, non seulement ne tentait pas de se soustraire à mon attouchement hardi, mais au contraire semblait l’accepter. Les mains toujours agrippées au dossier du fauteuil de son fils, elle s’immobilisa, la croupe tendue en arrière, comme dans l’attente d’un contact plus précis de ma part. Confondu par la docilité avec laquelle cette femme avait accepté mon étreinte, je pressai fiévreusement mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, éprouvant un indicible plaisir à sentir ce corps charnu ainsi offert à mes attouchements. Aussi, je ne me privai pas de palper, comprimer, pincer ces chairs fermes, me gavant de papouilles. Pendant tout le temps que je lui malaxais les hanches, Michèle demeura immobile, ne cherchant jamais à fuir mes attouchements de plus en plus précis. Au contraire, il me sembla que sa croupe se tendait de plus en plus dans ma direction, comme pour me faire comprendre que non seulement elle acceptait mes privautés, mais qu’elle m’encourageait à les affiner. Mais pétrir ainsi fiévreusement ces hanches charnues, objet de mes fantasmes, ne tarda pas à faire naître une formidable érection au bas de mon ventre. Dans le secret de mon slip, ma virilité se gonfla inexorablement en doublant de volume, déformant très vite le devant de mon ...