L'ordinateur complice
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
groscul,
poilu(e)s,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
... » d’un garçonnet de huit ans, aussi gêné que moi de se trouver là. Songeant qu’il fallait à tout prix lui trouver une occupation, j’optai pour mon ordinateur, dans lequel traînaient un ou deux jeux. Comme tout garçon de son âge, Patrick trouverait le temps moins long si je le laissais pianoter. — Tu veux jouer sur l’ordinateur ? Lui demandai-je, certain qu’il n’allait sûrement pas refuser pareille offre.— Oh oui ! s’exclama le gamin, retrouvant soudain son sourire. Qu’est-ce que tu as comme jeux ? Rassuré sur la suite de l’attente, j’installai le garçon devant l’ordinateur qui se trouvait sur mon bureau et chargeai un jeu. Songeant que je ne pouvais pas laisser le garçonnet tout seul, même s’il n’y avait pas réellement de risque, je décidai de rester près de lui. Je m’installai donc sur l’un des fauteuils meublant la pièce servant de bureau, à lire une revue informatique. Ainsi le temps passa plus vite pour nous deux. Patrick malmenait le joystick afin d’abattre le maximum d’Aliens et ne se souciait ni de moi ni de tout ce qui pouvait se passer en dehors de sa « guerre des étoiles ». C’est au milieu des exclamations du garçonnet, mêlées aux bruits des tirs lasers, que je devinai, plus que je ne l’entendis, la sonnerie de la porte d’entrée. Posant ma revue, je m’empressai d’aller ouvrir à la mère du tueur de monstres. — Ça y est, me voilà, me sourit Michèle quelque peu essoufflée. Je me suis dépêchée, j’espère que Patrick ne vous a pas trop embêté.— Nullement, lui ...
... rétorquai-je, le regard attiré par sa forte poitrine qui se gonflait au rythme de sa respiration. Il s’éclate devant l’ordinateur. Venez voir ! Précédant ma provocante voisine, je la conduisis jusqu’au bureau où Patrick continuait à se battre férocement contre les envahisseurs. — Patrick, je suis revenue… Viens, il faut rentrer maintenant, lança Michèle à son fils.— Oh non ! Pas tout de suite, protesta le garçonnet en se démenant sur son fauteuil. Saisissant l’occasion qui m’était donnée de garder près de moi cette femme aux si généreux appas, je m’empressai de prendre la défense de son fils : — Vous avez bien deux minutes, laissez-le finir sa partie. Curieuse, Michèle s’était approchée de son fils et se tenait derrière son fauteuil, suivant d’un œil intéressé ce qui se passait sur l’écran. D’où je me trouvais, placé au milieu de la pièce, je ne la voyais que de dos. J’en profitais pour fixer avec convoitise la partie de son anatomie qui me faisait tant fantasmer. La robe légère se tendait sur sa croupe, dessinant avec une précision impudique la forme des fesses plantureuses. Ce spectacle terriblement érotique déclenchait en moi une furieuse excitation. J’essayais de m’imaginer à quoi pouvait ressembler ce fabuleux derrière une fois dénudé. Quel volume pouvaient avoir ces fesses une fois libérées de leur prison de nylon ? Autant Martine, ma femme, possédait un corps mince et souple, presque un corps d’adolescente, autant je me trouvais attiré par celui, tout en chair, de notre voisine. ...