1. Le goût des autres


    Datte: 28/06/2021, Catégories: hh, inconnu, grossexe, forêt, parking, voiture, odeurs, Oral 69, hdanus, hsodo,

    Nous sommes tous uniques, je ne vous apprends rien. Mais une multitude de petits détails font que chaque être a ses propres caractéristiques, sa signature, en quelque sorte. Couleur de peau, odeurs corporelles, pilosité, couleur d’yeux, taille… autant de combinaisons possibles, sans même évoquer le caractère, la démarche, les expressions du visage, le timbre de voix. Déjà qu’un simple regard en dit beaucoup… Pour avoir déshabillé un vaste panel d’hommes, il en va de même en ce qui concerne leurs organes sexuels. La forme et la taille de leur verge, le volume de leurs bourses, leur aspect les différencie sans l’ombre d’un doute, même en les classant « par famille » ! Je voudrais au travers de ces quelques lignes détailler une de ces caractéristiques qui me tient vraiment à cœur : leur goût. Non, pas le goût de leur peau ni de leur sexe, mais le goût de leur semence. Car outre la façon qu’un homme râle et crie (parfois) pour exprimer tout son plaisir au moment de l’orgasme, chaque éjaculation livre la saveur intime du mâle qui vient de nous confier son intimité. La fellation est un tout, direz-vous. Elle commence lorsqu’il y a agrément et connivence entre deux êtres – pas toujours du sexe opposé, puisque je suis bien un homme. Les corps qui se rapprochent, une main inquisitrice qui part à la rencontre de l’entrejambe pour en évaluer le potentiel, les odeurs corporelles… autant de faits qui nous mettent en condition. Mais que ce soit à genoux aux pieds de son partenaire ou ...
    ... allongé entre ses jambes, l’instant gagne en fébrilité lorsque la braguette s’ouvre et qu’en dégageant les sous-vêtements, le sexe se révèle. Le premier impact est purement visuel et de celui-ci naît le désir d’en connaître davantage. L’aspect, le volume, la couleur, l’odeur, la pilosité… nous y sommes. Certaines bourses sont si appétissantes qu’il est impossible de ne pas y goûter, les gober avec désir, alors que plus généralement, mon attention se focalise sur la verge. Pour elle principalement, la taille, le poids, la forme et l’odeur ont une importance déterminante. Certaines sont un appel à la débauche, les sucer devient une obligation pour aller au bout du voyage et obtenir l’ultime récompense. D’où me vient ce besoin compulsif ? Je ne saurais vous le dire de manière précise, mais il est clair que cela a commencé à l’adolescence. Mes multiples masturbations étaient très souvent peuplées de belles verges se relayant entre mes lèvres avant d’y déverser de puissantes giclées de sperme. Ce sperme avait dans mes fantasmes un goût puissant et enivrant qui ne manquait pas de déclencher ma propre jouissance. Mais à part les douches collectives assorties de quelques masturbations entre collègues de dortoirs, je n’avais encore jamais vu d’adulte jouir en expulsant sa semence. Jusqu’au jour où avec un ami, nous étions entrés dans un cinéma diffusant des films pornographiques. Le scénario nous intéressait peu et nous regardions les deux actrices enchaîner les scènes avec une gourmandise ...
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