Le goût des autres
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
hh,
inconnu,
grossexe,
forêt,
parking,
voiture,
odeurs,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
... insoupçonnée à notre jeune âge. Du livre porno, nous passions au film. Les actes sexuels se révélaient être bien plus mouvementés que les images publiées dans mes livres et revues. Il me tardait de passer à l’acte. Je me souviens clairement d’une scène qui m’a immédiatement donné envie de remplacer la jeune femme, même si ces femmes me mettaient dans tous les états. Celle-ci suçait un homme grisonnant au sexe monstrueux en prenant de toute évidence beaucoup de plaisir. Soudain, l’homme se mit à jouir dans sa bouche, mais elle laissait l’abondante semence s’écouler de sa bouche. Cet homme n’en finissait plus de décharger, c’était très intense. La demoiselle savourait cet imposant morceau et s’en occupa amoureusement encore un grand moment avant que le film ne poursuive son cours. Sans rien montrer à cet ami, je n’étais plus le même en sortant de cette salle. Pourquoi ce plaisir ne serait-il réservé qu’aux femmes ? Il était évident qu’il me fallait tenter cette expérience, et des deux côtés de la barrière. Très souvent, l’image de cette grosse verge déchargeant un tel flot de sperme m’a porté jusqu’à l’orgasme. Assez jeune, j’ai rencontré le plaisir de faire l’amour avec une fille un peu plus âgée que moi, ainsi que celui de jouir entre ses lèvres. Elle aimait beaucoup m’offrir cette caresse, ce qui suscitait beaucoup de questions « intéressées » de ma part. Elle ne pouvait concevoir de ne pas aller jusqu’au bout de mon plaisir et de le consommer. Intéressant ! Il m’a fallu ...
... attendre encore pour oser me lancer à mon tour. J’avais guère plus de 19 ans et je venais d’avouer à cet homme d’âge mûr mon désir de sucer et d’avaler son sperme, impatient de mettre un goût sur mes fantasmes. Ce tout premier mec, Stéphane, était vraiment très solidement membré, ce qui m’impressionna lorsqu’il se dévêtit. Mais il me mit à l’aise en créant une atmosphère détendue. L’instant d’après, nous étions nus sur son lit, je me retrouvais avec cette puissante verge devant les yeux, puis mes doigts se l’approprièrent timidement pour guider son gland entre mes lèvres distendues. Une odeur assez marquée et un goût très particulier, certes, mais le plus frappant, c’est que je n’avais pas imaginé la multitude de sensations qu’une bouche se refermant autour d’un gland pouvait procurer. La texture de ce nœud, le grain de sa peau au contact des lèvres puis de la langue qui en lèche la surface et en découvre les moindres détails. Coller contre son palais ce bonbon délicieusement spongieux et du plat de la langue lécher le frein pour en découvrir les petits vaisseaux sanguins qui parcourent cette zone. Les saveurs récupérées en léchant la base de la couronne, avant de revenir vers le frein et de remonter darder le méat gluant de pré-sperme. Un homme mouille, je l’apprenais. Ce sperme clair a un goût très doux. Mes lèvres qui cèdent au fur et à mesure qu’elles descendent à l’assaut de sa longue hampe, repoussant le prépuce qui s’étire dans un mouvement de coulisse. L’urètre gonflé ...