Le goût des autres
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
hh,
inconnu,
grossexe,
forêt,
parking,
voiture,
odeurs,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
... du parking, éclairé par un lampadaire situé à une quinzaine de mètres. Des hommes y entraient, d’autres en repartaient… prenant mon courage à deux mains, je tentai ma chance. Trois hommes y patientaient, leur main malaxant sans gêne leur propre entrejambe au travers de leur pantalon. J’approchai du plus jeune, qui sans hésiter ouvrit son pantalon pour exhiber un sexe assez long, mais bien moins imposant que celui de Stéphane. Aussitôt accroupi à ses pieds, je le pris directement entre mes lèvres et fus surpris du peu de volume qu’il y occupait. Son goût d’homme n’était pas désagréable. Je le suçais avec entrain en cajolant ses couilles pendantes, lorsque je remarquai qu’un des deux autres mâles s’était avancé. De sa main dépassait un gland vraiment très gros, pour ne pas dire monstrueux. Ma main saisit cette hampe pour la branler en continuant ma pipe, bien décidé à faire jouir mon partenaire. Le jeunot ne tarda pas, au moment où il posa sa main sur mon épaule juste, il éjacula, remplissant ma bouche dès le premier jet, au point de me surprendre. Cramponné à l’autre verge, j’avalai cette salve assez salée, mais la même dose remplaça la précédente, submergeant également mon esprit affolé par une telle quantité. Lorsque la troisième giclée me parvint, je n’avais pas encore avalé et son sperme, assez liquide, s’écoula par la commissure de mes lèvres. J’eus à peine le temps de déglutir avant la quatrième, légèrement moins abondante. Une certaine acidité prit le dessus, rendant ...
... son breuvage presque désagréable. Ses jambes tremblaient ; une cinquième salve, puis une sixième et dernière firent copieusement déborder ma bouche. Sans un mot, il se retira et fila en refermant son pantalon, me laissant avec son sperme maculant mon tee-shirt et mon menton. Outre le puissant goût de mâle, je bénéficiais désormais de l’odeur de son foutre. L’autre homme encore contenu dans ma main présenta instantanément son superbe nœud devant moi. Lorsque je repris mon branle, l’homme me demanda de le sucer aussi. Sans prendre le temps de réfléchir et sensiblement grisé par la situation, je le présentai à mes lèvres. Sa main glissée derrière ma nuque, il força contre mes lèvres encore gluantes. Son imposant bout se déforma pour qu’il puisse me pénétrer, tant il était renflé. Une fois dans ma bouche, il reprit sa forme initiale. Je le subissais plus que je ne le suçais. Continuant de le branler, j’arrivais toutefois à faire coulisser mes lèvres sur quelques centimètres. À en croire ses encouragements, il appréciait, cela me motiva à lui donner le meilleur de moi-même. Quelques minutes suffirent pour qu’il se contracte, le bassin tendu vers moi. Son gland presque dans ma gorge, il m’aspergea les amygdales de deux ou trois grosses giclées avant de s’immobiliser, comme s’il venait de tomber en panne. Lorsqu’il eut récupéré, il pinça sa hampe pour en extraire les dernières gouttes, puis sortit de ma bouche en raclant contre mes dents. Il promena son nœud contre mes lèvres grasses ...