1. Le goût des autres


    Datte: 28/06/2021, Catégories: hh, inconnu, grossexe, forêt, parking, voiture, odeurs, Oral 69, hdanus, hsodo,

    ... à plusieurs reprises. Le contact agréablement chaud de sa chair molle contre ma peau fut plutôt agréable. Puis il se rhabilla, me remercia et disparut. Le troisième homme n’était plus là lorsque je me redressai. Souillé et surpris, je venais de comprendre qu’en plus de ne pas tous avoir le même goût, certains disposaient de grosses réserves et qu’il fallait m’attendre à devoir faire face à d’éventuels tsunamis. Qu’importe. Je voulais sucer ? Eh bien il me fallait assumer. Il était clair que je n’allais pas m’arrêter à cela, j’aimais trop ce qu’il venait de se passer. Par contre, ce premier sexe de taille modeste ne m’avait pas vraiment donné beaucoup de plaisir à le sucer… Environ quinze jours plus tard, entre deux averses, je croisai un beau mec d’une trentaine d’années, arpentant comme moi les allées de ce fameux parc. Son pantalon de cuir présentant une belle proéminence sur le devant de sa personne, je m’approchai de lui et nous fîmes quelques pas en discutant. Une demi-heure plus tard, nous roulions dans sa 2 CV verte pour nous isoler dans un petit chemin. Sur la banquette arrière, la pluie battant la capote, ses vingt centimètres trouvaient un certain réconfort que l’habitacle de sa voiture était loin de nous offrir. Ma langue n’avait de cesse de s’enrouler autour de son très beau gland lisse et spongieux, mes doigts malaxant une paire de bourses à faire pâlir de honte un taureau. Il ne fut pas long à expulser sa jouissance. Son sperme claquait puissamment contre ...
    ... mon palais sans qu’aucune goutte ne se perdît en dépit de violence de ses jets. Une semence crémeuse à la saveur plutôt sucrée nappait mes muqueuses. J’en gardai en bouche et pris plaisir à en engluer ma langue pour en découvrir quelques notes camphrées. À son tour, il me suça un bon moment, mais je ne désirais pas jouir dans sa bouche. Son sexe, un peu moins épais que celui de Stéphane – ma seule référence « étalon » à l’époque – reprit assez vite toute sa verve. J’eus soudain très envie de le sentir en moi, mon ventre le réclamait… et l’homme me plaisait énormément. Très mal installé sur cette banquette, je réussis toutefois à le chevaucher, bien déterminé à trouver un moyen de l’accueillir. Agrippé au siège avant pour me délester quelque peu, je sentais clairement son nœud aller et venir en moi, c’était parfait. La tête dans les étoiles autant que dans la capote de sa deudeuche, son gland pourtant bien présent gonfla encore lorsqu’il déchargea en me tirant par les hanches pour mieux se planter en moi, provoquant ma propre jouissance sans que j’eusse besoin de « stimulation externe ». Il était le deuxième à me sodomiser, et franchement, il me fit un bien fou. Je commençais à vraiment apprécier cette pratique à laquelle Stéphane m’avait initié. Lorsqu’il me déposa à ma voiture, son sperme s’écoulant de mon anus me rappela l’intensité du moment que je venais de vivre. Je trouvais cette sensation des plus agréables, cela n’était qu’une continuité. Je constatai, non sans m’en ...
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