1. Jenn, je t'aime (pas)


    Datte: 29/06/2021, Catégories: f, ff, jeunes, école, fsoumise, fdomine, cérébral, ffontaine, Oral fdanus, délire, humour,

    Résumé de l’épisode précédent :«La rencontre »Amalie a rencontré Fred lors d’une soirée. Bien que moyennement malin, celui-ci lui a plu, à tel point qu’elle s’est subrepticement masturbée devant lui (en fait, il n’est vraiment pas malin). Elle attend maintenant (et avec impatience s’il vous plaît) leur premier rendez-vous. Qui ne sera pas dans cet épisode, désolé. _________________ Lorsque je rouvris les yeux, le soleil s’était levé. J’étais toujours couchée sur le canapé de cet ami commun que j’avais avec le beau Fred. Pour observer les dégâts, je soulevai la couverture sous laquelle je m’étais blottie durant la nuit. La veille, j’avais en effet déversé une quantité impressionnante de moi-même sur ce canapé (et sur ma robe, en passant). La majeure partie de ma mouille avait été aspirée par le canapé, et il n’en restait qu’une vague tache un peu plus sombre qui prouvait mon forfait. Et l’odeur de sexe que je dégageais aussi. Une odeur forte et entêtante qui me montait à la tête et ravivait mes souvenirs de la veille. J’avais osé. J’étais allée plus loin que jamais dans la perversité. Rien que d’y penser, j’en avais des frissons. Honte, plaisir. Un peu des deux. Beaucoup de plaisir. En fin de compte, je m’étais carrément branlée devant Fred sans même qu’il ne s’en rende compte. Et j’avais joui comme jamais. Clairement, je venais de me découvrir un lourd penchant pour l’exhibitionnisme. Mes petits fantasmes me propulsaient toujours plus loin sur le chemin de la découverte de ...
    ... moi-même, et il semblait que j’aimais les choses vicieuses, les choses sales. Que j’en avais besoin pour m’exciter. C’était hautement déprimant. Je vérifiai un peu plus ma robe, et jugeant que les preuves du crime étaient à peine visibles, je me décidai à quitter l’appartement pour rentrer dans l’affreuse chambre de cité U que je partageais avec une de mes camarades de classe. Alors que je me levais, je me suis rendu compte que mon chevalier servant était toujours là. Il avait dormi par terre au pied du canapé, et je l’imaginais sans peine me veiller pendant la soirée pour être sûr que tout allait bien pour moi. Fred pensait que j’avais la nausée, et moi je pensais à lui en train de me maltraiter sexuellement, pour mon plus grand plaisir. Je trouvai sur une table proche un petit bout de serviette propre et un stylo sur un comptoir ; j’écrivis mon nom et mon numéro dessus et le glissai doucement dans une des poches de Fred en faisant bien attention de ne pas le réveiller. Je quittai enfin l’appartement, encore toute chamboulée par ce qui s’était passé. _________________ Fred n’a pas mis longtemps à m’appeler. Avant la fin de la journée, nous avions déjà convenu de nous retrouver la semaine suivante pour passer un peu de temps ensemble, juste nous deux, et comme je lui avais promis, sans que je sois complètement soûle. Après son appel, je crois bien avoir passé deux heures à me masturber frénétiquement en pensant à lui. Durant la semaine, mes fantasmes allèrent grandissant, et ...
«1234...»