Jenn, je t'aime (pas)
Datte: 29/06/2021,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
école,
fsoumise,
fdomine,
cérébral,
ffontaine,
Oral
fdanus,
délire,
humour,
... mes besoins aussi. J’avais besoin de sentir que ce à quoi je pensais était en train d’arriver. Afin de donner un peu de réalité à mes petits rêves, j’avais fait un saut au sex-shop pour m’acheter des objets censés m’aider : deux godes en forme de sexe masculin, couleur chair, un plug anal et des boules de geisha. Mon budget pour la nourriture s’en est trouvé fortement réduit, mais à ce moment-là, il se trouvait que mes besoins physiques étaient situés sous la ceinture. Quand je pensais à un gang-bang, je me mettais un gode dans la bouche et un dans le vagin. Une séance de soumission ? Je m’attachais une ceinture autour du cou avant de mettre le plug et de me branler à quatre pattes dans mon lit. Une double pénétration ? Les boules de geisha, poussées par mes doigts, faisaient leur office. Lorsque je n’étais pas en cours, je passais la majeure partie de mon temps libre à me masturber. Cela m’avait demandé une organisation particulière pour éviter la présence de maroommate et me laisser libre de me caresser à loisir. Jennifer avait hérité d’un prénom sorti tout droit d’une sitcom des années 90, et elle le détestait cordialement. On l’appelait Jenn, ou on ne l’appelait pas. Si j’étais des plus communes, elle était encore pire que moi. D’une banalité affligeante. Rien à voir, rien à dire. Elle travaillait bien en cours, n’avait que peu d’amis, et passait la majorité de son temps à la bibliothèque ou sur son ordinateur, se documentant sans cesse sur tel ou tel sujet. Jenn ...
... était un peu plus grande que moi, portait des lunettes à double foyer, avait des cheveux longs et noirs coiffés systématiquement en une natte qui lui pendait dans le dos. Elle s’habillait de frusques informes toutes plus affreuses les unes que les autres. Malgré une bonne entente, on ne se voyait presque jamais. Elle ne rentrait que dans la soirée, et les mots que nous échangions le plus étaient « bonjour » et « bonsoir ». Je profitais donc de ses absences répétées pour m’adonner à mes vices, mais je n’avais jamais réussi à me trouver un créneau où j’aurais pu me lâcher complètement, sans l’angoisse de savoir qu’elle pouvait rentrer à n’importe quel moment. La semaine avançait, et le jour de mon rendez-vous avec Fred approchait à grands pas. Mon excitation allait croissant et je n’arrivais plus à me le sortir de la tête. Je revoyais son visage éberlué alors que je jouissais à quelques centimètres de lui. Mes séances de masturbation se faisaient plus intenses et plus fréquentes. Il pouvait arriver que je me branle plusieurs fois dans la journée sans pouvoir ressentir le moindre apaisement. Je faisais ça dans les toilettes, dans la salle de bain, dans mon lit, ou directement sur le sol de la chambre. J’avais même réussi à me faire jouir durant un amphi, assise au dernier rang, le plug profondément enfoncé en moi. Devant tout le monde. Derrière tout le monde, en fait. Mais quand même… La veille de mon rendez-vous, j’ai connu un pic de stress sans égal. Que se passerait-il si je ...