1. Jenn, je t'aime (pas)


    Datte: 29/06/2021, Catégories: f, ff, jeunes, école, fsoumise, fdomine, cérébral, ffontaine, Oral fdanus, délire, humour,

    ... repartais dans mes fantasmes sans pouvoir me contrôler et qu’il s’en rende compte ? S’il me voyait jouir, assise en face de lui dans un bar, une boule de geisha dans chaque trou ? Ce serait affreux. Affreusement excitant. J’étais excitée. Encore. Il fallait que je me calme, et je comptais bien le faire tout de suite. Réaliser le fantasme. Une boule dans chaque trou, c’était facile à réaliser pour une fois. Assise sur une chaise, comme si j’étais dans un bar. Le seul problème était que je ne parvenais pas à remettre la main dessus. Les boules étaient introuvables. Je les cachais dans mon armoire, sous une pile de linge, avec les godes et le plug. À ce moment-là, le plug était sur moi, mais il n’y avait dans mon armoire que les deux godes. Je me demandai ce que j’en avais fait. Oubliées dans mon lit après la dernière fois ? Je cherchai sous les draps, sur les côtés du matelas. Elles étaient dorées ; pourtant, ce ne devait pas être si difficile de les trouver. Je dormais dans un lit superposé, juste au-dessus de celui de Jenn. Alors que j’étais en train de soulever mon matelas pour voir si elles ne s’étaient pas glissées dessous, une petite lueur attira mon attention ; c’était une de mes boules. Et s’il y en avait une, les autres ne devaient pas être loin. Le problème, c’était l’endroit où elles étaient : sous l’oreiller de Jenn. Je ne m’en étais pas servi la veille, et quand je m’étais mis le plug le matin même, je n’avais pas fait attention à leur présence. La première chose ...
    ... à laquelle j’ai pensé, c’est qu’elles étaient tombées malencontreusement sous l’oreiller de Jenn. Voilà. Je suis redescendue de mon lit et ai attrapé les boules. Par pur réflexe, je les ai portées à mon nez ; elles sentaient le sexe. Fort. Et pas le mien ! Depuis que je mettais régulièrement mes objets dans ma bouche après leur utilisation, je me targuais de connaître mon odeur. Et mon goût. Et là, sur ces boules dorées, ce n’était pas moi. Elle s’était servie de mes boules. J’en avais la preuve sous le nez. Près de ma bouche. Très près de mes lèvres, de ma langue. Sans trop savoir pourquoi, je me suis sentie entrouvrir la bouche et tirer la langue, tout doucement. Je me disais que j’étais folle de faire une chose pareille et qu’il fallait que j’arrête avant qu’il ne soit trop tard. Mais j’avais déjà la boule sur langue. Je l’ai fait rouler vers l’intérieur, goûtant à la saveur salée qui venait de Jenn. Je l’avais dans la bouche, la faisais rouler sur ma langue comme si c’était un bonbon. Le fil dépassait entre mes lèvres, et l’autre boule reposait dans ma main. Je me demandais machinalement où celle-ci était allée alors que j’ouvrais déjà la bouche pour la gober, elle aussi. C’est à ce moment précis que Jenn entra dans la chambre. Moi, debout au milieu de la pièce, la langue tirée, une boule dans la bouche et l’autre sur le point d’y entrer. Lorsqu’elle m’a vue, j’ai eu un mini-orgasme accompagné d’un petit jet de mouille qui fusa entre mes cuisses et trempa ma culotte pour ...
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