1. La gêne et le plaisir - Partie 5


    Datte: 30/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ricana-t-il. Bref. Tu as un 06 ? - Je pourrais prendre le votre si vous… si vous me suivez à la sortie du supermarché. Je vous dirais quoi faire. - T’es cheloue mais j’aime bien les filles qui font pas les princesses difficiles. Vas-y, on va à la caisse, je suis trop pressé. Il avait l’air si enthousiaste que j’eu presque de la peine pour lui. Dans la queue pour la caisse, il profita de l’affluence pour se coller à moi. Je sentis à deux reprises sa main effleurer mes fesses. Une dame cru bon d’intervenir : - Laissez Madame un peu respirer, Monsieur. Je ne dis rien, prétendant n’avoir rien entendu. Le type se tint à carreau pour le reste du temps d’attente, mais une fois les courses payées, il libéra sa parole et ses gestes. - Alors ma belle, qu’est-ce que tu voulais me montrer ? dit-il en passant un bras autour de ma taille. - Suivez-moi, dis-je en pressant le pas, l’obligeant à me lâcher. Je le conduis jusqu’à la voiture. Damien pianotait sur son téléphone. Il m’adressa un grand sourire en me voyant accompagnée. - C’est ton mec ? demanda acidement le type, méfiant. - Pas exactement, dis-je. Venez avec moi derrière la voiture. Vous avez un stylo ? ou un feutre ? - Pas sur moi. Qu’est ce que tu veux faire ? - Attendez. Je toquais à la vitre de la voiture. Damien descendit la vitre de la voiture. - Oui ? - Est-ce que vous auriez un feutre ? - Je n’ai pas bien entendu. - Est-ce que vous auriez un feutre… s’il vous plait. Maître ? - C’est mieux. Heureusement que je suis plus ...
    ... prévoyant que toi, petite chienne. - Merci, Maître. Le mec de la supérette suivit l’échange, bouche bée. Je lui tendis le feutre. - Est-ce que vous pourriez s’il vous plait écrire le mot « chienne » sur mes fesses, et votre numéro aussi ? Il regarda ma main comme si je lui tendais un serpent. - Vous êtes sado-maso, c’est ça ? Faut vous faire aider, dit-il en passant étrangement au vouvoiement. - S’il vous plait ? - Qu’est ce que j’y gagne, moi ? - Si je vous demande votre numéro, c’est bien pour vous rappeler plus tard, non ? Cette réponse l’enchanta. J’allais me placer derrière la voiture, me penchais en avant et relevais ma jupe. J’essayais de ne pas penser, de ne pas ressentir ce qui se passait. Le type prit le temps de bien regarder mes fesses avant de se décider à écrire dessus. Agrippant fermement ma hanche à m’en faire mal, il appuya fort sur la pointe du feutre, traçant ses lettres sur ma peau encore endolorie. - J’en connais une qui a pris une sacrée dérouillée, ricana-t-il. Il inscrivit son message ; j’espérais qu’il n’allait pas écrire autre chose, craignant les ennuis qui pourraient m’arriver. Lorsque le type finit, il réclama un baiser. - Un tout petit, pour ma peine ! - Je pense que vous avez davantage profité que moi, dis-je froidement. Au revoir Monsieur. Je montais dans la voiture prestement et claquais la portière. Le type tenta vainement de nous retenir, mais Damien démarra la voiture. - Chapeau, dit-il en conduisant. Je ne répondis rien, gardant le silence ...
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