1. Adélaïde et Paolo


    Datte: 01/07/2021, Catégories: fh, fhh, fhhh, hbi, jeunes, copains, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme théatre, humour,

    ... regardent curieusement. LUCINDA — Oh excusez-moi, j’ai pensé à voix haute… La sonnette retentit. Paolo bondit vers la porte, un grand sourire aux lèvres. WILLIAM, à Lucinda et Anselme — Allez dire à Adélaïde que s’il y a quelque chose à faire, c’est à elle de le faire, et à personne d’autre. ANSELME — Oui, tu as sans doute raison. LUCINDA, à William — Qui c’est que vous recevez ? William hausse les épaules en souriant. Paolo ouvre la porte. Katarina, Tatiana, Eva, Magdalena entrent. KATARINA — Bonsoir. TATIANA — On ne dérange pas ? MAGDALENA, avisant le caleçon de Paolo — Non, visiblement, il nous attendait. PAOLO — Hmmm, vous avez amené du renfort, en plus. Bonne idée, ça ! EVA, comptant les personnes présentes — Hmm ! Mais ça va être une vraie orgie ! LUCINDA, à William, affolée — Dis-moi que c’est pas ce que j’imagine ! WILLIAM, souriant — Je ne suis pas sûr… je ne voudrais pas dire de bêtises… ANSELME — Paolo, tu n’es pas dans ton état normal. Arrête ! Tu vas regretter, ensuite… PAOLO, aux nouvelles arrivantes — Entrez, les filles. Je vous présente Anselme et sa copine Lucinda, qui allaient justement s’en aller. Au revoir, les amis, à bientôt. Mes amitiés à Adélaïde. Et là-bas, c’est William, un pote. Eva et Magdalena s’approchent lascivement de William tandis que Tatiana et Katarina plaquent une main entre les cuisses de Paolo. Acte III, scène 6 Mercredi 21, 23h10 L’appartement d’Adélaïde, (Adélaïde) Adélaïde est assise, prostrée dans un canapé, un téléphone à la main. ...
    ... ADÉLAÏDE — Oh, Paolo, Paolo ! Me pardonneras-tu jamais ? Mais ils ont raison, tous. Tout est de ma faute. C’est moi qui suis conne ! Elle prend un téléphone et compose un numéro. Un silence. Elle raccroche. ADÉLAÏDE — Oh, et William qu’est pas là ! Il aurait peut-être pu m’aider… On frappe à la porte d’entrée. ADÉLAÏDE — Oui ? La porte s’ouvre. Anselme et Lucinda entrent. ADÉLAÏDE — Ah, c’est vous. Alors ? LUCINDA — Oui, on l’a vu, il était avec William. ADÉLAÏDE — Ah ! Et ? Un silence. ADÉLAÏDE — Ben, racontez-moi ! Un silence. ADÉLAÏDE — Oh, putain, merde ! Vous faites chier ! J’ai plus qu’à l’oublier, c’est ça ? ANSELME — Non, mais à mon avis y a qu’une seule chose à faire, c’est que tu fonces chez lui. LUCINDA — Oui, il était sur le point de faire une grosse connerie, là. ADÉLAÏDE — De quel genre ? LUCINDA — Genre pire que la tienne encore. Une vraie partouze ! ADÉLAÏDE — Putain ! Un silence. ANSELME — Mais bon, y a une chose positive, dans tout ça : s’il se venge, c’est peut-être qu’il tient encore à toi… *** Acte IV, scène 1 Jeudi 22, 00h30 Le salon de Paolo (Personne, la pièce est vide) La porte menant à la chambre de Paolo s’ouvre ; William, nu le sexe légèrement gonflé, entre en titubant et se traîne jusqu’au canapé. On entend toujours des gémissements monter de la pièce voisine. WILLIAM — J’avais déjà la tête qui tourne, maintenant en plus j’ai mal à la bite ! Il bâille. WILLIAM — J’en peux plus, je suis exténué ! Les salopes, elles ont de la ressource ! Et Paolo est ...
«12...192021...25»