Je ne me reconnais plus
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
A cette époque, j'étais hôtesse d'accueil et caissière chez un fournisseur de matériaux de chantier. Seuls les artisans avaient accès à notre magasin. Notre dépôt n'était ouvert que depuis peu et nous pouvions prendre du temps pour faire connaissance avec nos premiers clients. L'un d'entre eux me plaisait...la quarantaine, souriant et parlant d'une voix grave et posée, le regard franc et un peu déstabilisant lorsqu'il le plongeait dans le mien. Il était grand et bien bâtit, se tenait droit et avait belle allure, malgré ses vêtements de chantier. J'ai vite remarqué son alliance sur ses grandes mains puissantes. Habituellement, la célibataire que j'étais se trouvait déçue par ce genre de constat...mais lui...je l'en trouvais inexplicablement plus séduisant... Nous n'échangions que quelques mots, qui n'auraient du être que des banalités, mais il avait le don de trouver des petites formules touchantes. Parfois même, il réussissait à y glisser un compliment, subtil, délicat, sur mes tenues ou mon sourire...Nous avons fini par lier...disons...une sorte d'amitié. Lorsqu'il repartait et passait par ma caisse, il ouvrait son agenda de chantier pour en extraire sa carte d'accès au magasin. Sur la première page, je ne pouvais m'empêcher de regarder la photo de sa femme...une grande et belle femme. Elle avait de longs cheveux châtains/roux qui volaient dans le vent d'un été. Ses épaules nues étaient bronzées comme des abricots et son T-shirt à fines bretelles enveloppait les courbes ...
... magnifiques de ses seins, laissant légèrement deviner leurs petites pointes dressées. Le contre jour, en plein soleil, dessinait mystérieusement ses longues jambes à travers la trame aérienne de son sarouel blanc. Ses petites mules à talons lui offraient une pose cambrée, naturelle et séduisante, qui dressait sa poitrine en avant et mettait en valeur la courbe de ses fesses. Alors qu'il me surprit un jour, regardant cette photo avec insistance, perdue dans quelques pensées indéfinies, il me sourit d'une façon assez étrange et complice, sans dire un mot, mais en plissant ses beaux yeux et en refermant doucement son agenda. Lorsqu'il sorti du magasin, il souriait toujours et je me rendis compte que mes joues me chauffaient. Mon travail était assez ennuyeux, et la plupart des clients étaient de gros lourdeaux pansus, prenant leurs plaisanteries douteuses pour de subtils compliments, tout en se persuadant que leurs rires gras achevaient de me séduire. Ils se penchaient ostensiblement sur mon badge, agrafé sur mon chemisier de travail, sur la pointe de mon sein, et lisaient à voix haute : « Eloïse ...très joli... »...Puis, faisant allusion à l'opulence de mon buste : « C'est pratique, on le lit facilement : il n'est pas très loin de nous!! »...Suivi du fameux rire, façon Capitaine Caverne. Il est vrai que je suis fière de ma poitrine, ronde et généreuse. Elle me permet, entre autre, de lécher avec gourmandise mes petites aréoles, lorsque je fais l'amour...Mais certainement jamais avec ...