1. Je ne me reconnais plus


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ses imbéciles approximatifs, ignorants et bêtes à la fois, qu'un de mes amis appelle des « analphacons ». Ils sont persuadés avoir appris, à l'école, que les abricots poussent sur les cabanes de pêcheurs!... Je cherchais constamment à fuir cette atmosphère triviale, rude et froide, ces odeurs de sueurs rances, de matériaux bruts, cette agitation de collègues approvisionnant les rayons à coups de transpalettes bruyants et de beuglements « virils ». Ils faisaient geindre les tablettes métalliques, qu'ils chargeaient en produits, dans un bruit strident de ferraille qui résonnait dans l'immense carcasse froide de notre magasin. Je m'isolais souvent dans les toilettes des dames, ou dans un recoin isolé de la réserve, pour m'évader dans des rêveries, généralement sensuelles ou érotiques. Il m'arrivait fréquemment de me caresser le corps à travers mes vêtements, imaginant d'autres caresses que les miennes. Je partais alors pour de longs voyages excitants. Je finissais, la plupart du temps, par effleurer la peau tendre de mes jambes...puis, remontant lentement, je passait sous ma jupe, j'écartais ma lingerie pour laisser mes doigts s'aventurer dans tous les recoins humides de mon intimité. Un jour que je venais ainsi de m'isoler derrière une pile de palettes, j'entendis, après quelques instants, le pas d'une de mes collègues qui s'approchait, en prenant garde de ne pas faire sonner ses talons. Comme je l'observais, depuis ma cachette, je la vis s'arrêter et se dissimuler des regards ...
    ... (du moins le croyait elle!) derrière le coin d'un mur, non loin de moi. C'était une femme d'une petite cinquantaine, toujours très élégante et soucieuse d'elle-même, aux formes pleines et généreuses. Toujours souriante et joviale, je la soupçonnais pourtant de s'ennuyer souvent ici. Certains de ses regards, surpris à la sauvette, m'avaient parus perdus et rêveurs. Ce jour là, elle cherchait, de toutes évidences, à s'évader à ma façon. Elle s'était appuyée, dos contre le mur, et avait commencé à relire une lettre, que je devinais d'amour enflammé. Elle devait être torride et suggestive car, après s'être longuement câlinée elle-même à travers ses vêtements, elle avait déboutonné lentement son chemisier de travail pour se saisir de ses seins lourds et pleins. Elle portait une lingerie particulièrement sexy, en dentelle noire rehaussée de broderies rouge cerise, dont le soutien-gorge n'était qu'une élégante armature, enveloppant uniquement le dessous de ses seins dans un effet pigeonnant. Il offrait à la vue des spectateurs chanceux, comme la spectatrice que j'étais ce jour là, sa poitrine nue. Sa peau blanche était parsemée de taches de rousseurs. Les extrémités de ses doigts dessinaient des cercles lents et doux autour de ses tétons durcis. Elle mouillait ses deux majeurs de salive, d'une langue souple et gourmande, pour qu'ils glissent plus facilement sur sa peau fine, créant un petit effet supplémentaire de froid, qui la faisait frémir. Elle connaissait bien son corps et ses ...
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