1. Je ne me reconnais plus


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plaisirs : ses doigts experts, tour à tour, malaxaient passionnément ses chairs moelleuses, puis se faisaient plus tendres en effleurant sa peau de brioche, pour les empoigner de nouveau avec fougue. Une de ses mains plongea plus bas, pour caresser son ventre, puis entreprit de remonter sa jupe droite, le long de ses jambes nues, jusqu'à la plisser sur ses hanches. Toujours d'une main, laissant l'autre parcourir ses seins, elle entreprit de descendre sa culotte légère jusqu'à la moitié de ses cuisses, qu'elle ouvrit impatiemment. Le fin carré de dentelle se trouva alors tendu entre ses jambes écartées, enflammant d'érotisme cette vision déjà si excitante. Derrière elle, dans la froide pénombre, se dressait un haut mur de parpaings bruts, lépreux, meurtri de poutrelles métalliques crevants ses flancs malades et souillés. Sur ce décors crasseux était délicatement posé son corps...chaud et pulpeux...presque entièrement nu. Sa peau laiteuse, ses courbes onctueuses, étaient sublimées...telle une pépite d'or, au fond de la battée d'un orpailleur, émergeant par magie des alluvions aurifères. Je sentais de lentes montées de chaleurs dans mon bas ventre et je devinais que ma chatte était mouillée. Ma collègue étouffait, comme elle pouvait, de petits gémissements incontrôlables raisonnants, dans cette cathédrale industrielle, comme les couinements apeurés d'une petite souris blanche. Ce fût d'abord pour ne pas l'embarrasser que je restais discrète, mais ensuite, je teins par-dessus ...
    ... tout à ne rien rater de cette petite scène enivrante, offerte par le hasard. J'étais violemment excitée. Lorsqu'elle est repartie, assouvie, remettant un peu d'ordre dans sa tenue, je me suis tout d'abord sentie amusée : je constatait que je n'étais pas la seule à aimer ce genre d'évasion du quotidien. J'avais ensuite profité pleinement de mon excitation (sans trop déterminer, d'ailleurs, ce qui m'avait réellement troublé dans ce petit spectacle...) pour me faire jouir intensément, de la façon qui me plaisait le plus : enfouissant aisément, dans ma petite chatte trempée, mes quatre doigts joints en fuseau, je caressais, de mon pouce, mon clitoris enflammé. J'adorais me masturber ainsi, dans les moments de particulièrement forte excitation... Je ne saurais dire exactement ce à quoi je pensais en me donnant tant de plaisir ce jour là... Et elle? ...à quoi et à qui pensait elle, en fermant ses paupières, pendant que tous ses doigts, semblant jouir d'une totale autonomie, plongeaient entre ses cuisses chaudes jusqu'entre ses fesses, rondes et secrètes? ... ...A moi peut être...et pourquoi pas...l'idée ne me déplaisait pas, et j'en fût moi même surprise...je ne me reconnaissais pas...elle me regardait peut être en douce, lorsque nous travaillions côte à côte...elle respirait peut être mon parfum lorsque je passais près d'elle (comme je prenait plaisir à m'étourdir du sien, d'ailleurs)?...ou lorsqu'elle m'embrassait le matin (si près de ma bouche!), ses mains sur ma taille et ses ...
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