I might be wrong
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... Laisse-moi terminer, coupa-t-il doucement. J’ai cédé à la tentation. Je t’ai vue si seule, ces derniers temps. Et je me sens si seul, moi aussi. Je regrette qu’on ait franchi cette étape.— Moi aussi, Jean-Philippe, murmurai-je, envahie d’un dernier instant de lucidité. May va me tuer quand elle va l’apprendre… Mais il secoua la tête. — Je ne veux pas qu’elle l’apprenne, objecta-t-il lentement. Je ne veux pas qu’elle voie son père comme un cochon pervers. Et qu’elle te voie différemment. Nous sommes des adultes, nous savons tous les deux que c’était une erreur. J’aimerais vraiment qu’on arrête ça…— Mais tu ne le feras pas, fis-je, ayant peur de la réponse.— Non, avoua-t-il. Pas aujourd’hui. Et je sais que toi aussi tu ne souhaites pas t’en priver, pour le moment. Sinon, tu ne serais pas là… n’est-ce pas ? Ma respiration se faisait irrégulière. Je lui lançai un regard brûlant qui aurait fait fondre toute une banquise. À croire que j’étais en partie responsable du réchauffement de la planète… — Prends-moi, Jean-Philippe, soufflai-je douloureusement. Je veux te sentir en moi… Lui aussi sembla s’embraser, à ces paroles. Il se pencha et reprit ma bouche, sauvagement. Il plaqua ses hanches contre les miennes. Son désir était impossible à ignorer. Sa queue faisait comme un bâton de métal contre mon ventre. Elle vibrait spasmodiquement. Puis il me saisit brusquement dans ses bras, me serrant fort contre lui, et se mit à nager, m’entraînant avec lui. Désormais, nous avions pieds. Il ...
... me relâcha légèrement, me regarda un bon moment, ses cheveux noirs retombant follement sur son front. Puis il me sourit. Et d’un geste, les mains posées autour de mes hanches, il me hissa sur le rebord. Je m’étendis à moitié, m’appuyant sur les coudes. Je respirais fort. Mes cheveux longs gouttaient sur mes seins crémeux, les constellant d’étoiles qui scintillaient sous les rayons du soleil. Jean-Philippe me sourit encore, puis se concentra sur mon bas de bikini. Il écarta d’un geste le léger tissu élastique. — Ouvre tes cuisses…, fit-il tout bas. Ouvre-les bien… Je m’exécutai, le souffle court. Les cuisses écartées, je le regardai se pencher sur moi, embrasser mon ventre, qui tremblota au contact des lèvres veloutées. Ensuite, il descendit sa bouche de feu, la glissa contre mon intimité. Mon clitoris était un peu durci, à cause de la température de l’eau. Jean-Philippe le chatouilla du bout de la langue, avant de le lécher avidement. — Mmmm, laissa-t-il échapper, les yeux luisants. Ouvre encore ma chérie… Mais je n’eus pas le temps de lui obéir. Ses doigts se posèrent sur l’intérieur de mes cuisses douces, qu’il ouvrit davantage encore, d’une pression. Eperdue de désir, je dépliai alors les jambes, les tendant vers le ciel. Je ne me souvenais pas m’être jamais livrée ainsi au regard d’un homme, écartelée dans toute ma féminité. Je m’allongeai définitivement dos contre le dallage, les jambes ouvertes à m’en faire mal, tandis que la tête de l’homme disparaissait presque entre ...