I might be wrong
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... elles. Le sol était froid sous ma peau, mais je n’en avais cure. Je sentis mon sexe suinter un peu de liquide blanc, que Jean-Philippe aspira divinement bien, me faisant frissonner de désir. Et puis ce fut le carnage total. L’homme embrassa, lécha, suça ma chatte, y enfonça sa langue avec dextérité, tant et si bien que je me sentais ruisseler de désir. J’appuyais frénétiquement mes mains contre sa tête pour le rapprocher encore plus près de mon intimité. Il n’y avait qu’un mot pour définir pleinement mes sensations : l’homme me baisait. Oui, il me baisait la chatte avec sa bouche, sa langue ; je nageais en plein océan orgasmique. J’explosai dans un grand cri farouche, parcourue d’un plaisir violent. Il se redressa à demi, me sourit, les yeux débordants de désir. Puis il me prit à nouveau aux hanches, et m’attira dans l’eau, où je m’adossai une nouvelle fois au mur du rebord. Sans parler, nous nous comprenions parfaitement. Il glissa des doigts tremblants sous le tissu du soutien-gorge, caressant mes seins simultanément, avec envie. Mes aréoles lui répondirent immédiatement, s’érigeant sous ses doigts habiles. Je poussai un gémissement, les yeux violemment clos, chavirée de désir. Sous la surface, nos corps se cherchaient, réagissant au moindre contact. J’avais la chair de poule. Perdant la tête, il abandonna mes seins pour s’approprier mes cuisses, qu’il ouvrit brutalement, avant de les lever de part et d’autre de son corps. Je nouai aussitôt mes chevilles dans son dos, ...
... l’encerclant de mes jambes écartées. D’une main, il retint ouvert mon petit triangle de tissu rose, et de l’autre il sortit sa queue bandée de son shorty rouge, avant de la poser délicatement à l’embouchure de mon intimité. M’agrippant alors les hanches, il me pressa contre lui. Ma chatte humide, caressée par l’onde, s’ouvrit lentement, avalant le gland, si large, puis le reste petit à petit, tandis qu’il me serrait de plus en plus étroitement. Je reconnus cette sensation d’être prise pleinement, envahie, dilatée dans mes moindres recoins. Un cri m’échappa, intense. Je croisai encore plus fort mes jambes autour de lui, comme pour le garder au plus profond, à jamais. Oui, ne jamais me défaire de cette délicieuse poussée qui m’écartelait de l’intérieur. Jean-Philippe saurait trouver mon point G, encore une fois. J’en étais convaincue. Il commença alors à aller et venir, provoquant de grands remous autour de nous, m’arrachant un autre cri de plaisir. Nous nous cramponnions l’un à l’autre, ma bouche ouverte contre son torse, cherchant de l’air. Je lui mordis sauvagement un téton. Il gémit à son tour, submergé de désir. Nous évoluâmes ainsi un long moment, allant et venant de plus en plus fort, faisant gicler l’eau contre nos corps. — Fais-moi jouir, encore une fois…, balbutiai-je. Le souffle accéléré, il m’observa avec fièvre. — J’ai une idée, me dit-il brutalement. Il se retira alors de moi, m’arrachant un cri de dépit. Mais il me rassura d’un sourire. Il se hissa sur le bord, et je ...