1. Divagations sur l'oreiller


    Datte: 02/07/2021, Catégories: fh, hplusag, frousses, grossexe, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, jeu, aventure, fantastiqu, merveilleu,

    ... faire bonne mesure, sa courte jupe fendue sur le côté laisse apparaître l’attache d’une jarretelle et son chemisier d’un blanc immaculé ne laisse aucun doute sur la liberté de sa poitrine. Tandis que je l’accompagne jusqu’à l’estrade, une question de taraude : comment fait-elle pour être aussi incroyablement sexy sans qu’il n’y ait la moindre once de vulgarité ? Par contre, tandis qu’elle grimpe sur cette sorte de podium, elle n’en mène pas large. James s’en aperçoit et se lève. — Élodie, vous êtes l’une des plus belles femmes que j’ai l’occasion d’accueillir ici. Soyez fière… Comme pour accompagner le propos, il se saisit de la cravache qui était posée pour lui relever le menton avec fermeté, mais sans aucune brutalité. — … redressez-vous. Voilà… encore un peu. Soyez hautaine, n’hésitez pas. Voilà. Regardez-moi comme ça de toute votre splendeur. Fière, bon sang ! Voilà qui est mieux… De fait, Élodie vient de sacrement se redresser, ce qui tend encore un peu plus le fin tissu de son chemisier au travers duquel ses seins semblent percer. Quant à sa position cambrée à l’extrême, elle affine encore une silhouette qui n’en a pourtant pas besoin et fait ressortir un cul dont je n’avais jamais remarqué à quel point il était à damner un saint. — C’est bien, veuillez marcher, maintenant… Surprise, Élodie s’exécute, mais n’a le temps que de faire quelques pas. — Non… Je me répète, soyez fière. Une femme telle que vous a le monde à ses pieds et elle le sait. Voilà, c’est mieux… ...
    ... Attention, n’oubliez pas pour autant à sourire. Voilà… vous y êtes presque. Moi, qui reste sagement assis dans mon fauteuil, je n’en reviens pas. En trois minutes et tout juste quelques mots, il est en train de transfigurer Élodie d’une manière prodigieuse, c’est tout juste si je parviens à la reconnaître. — Élodie, nous allons corser le jeu. Emmanuel, ici présent, va vous aider à enfiler ces escarpins. En fait d’escarpins, il s’agit d’une paire de chaussures italiennes dont les talons me semblent interminables. Je s’agenouille devant Élodie qui vient de s’asseoir dans le fauteuil où je me trouvais quelques instants plus tôt. — Ne baissez pas la tête, vous êtes et vous devez rester une citadelle aussi désirable qu’inaccessible. Et cessez de vous préoccuper de ce que notre ami puisse apercevoir votre intimité, les reines ne s’attardent pas sur ce que voient les manants. En fait d’intimité, j’ai une vue imprenable sur son adorable petite touffe rousse et sur son sexe proprement dit. À mon corps défendant, j’en attrape une trique à enfoncer des clous. — Voilà qui est mieux… Marchez, maintenant. Le problème, c’est que notre demoiselle a certes l’habitude de marcher avec des talons, mais certainement pas avec de telles échasses. James s’en agace quelque peu, et se saisit d’un livre posé sur une petite table quasiment invisible dans la pénombre. — Veuillez prendre cet ouvrage et le poser en équilibre sur votre tête… Voilà. Maintenant, n’y touchez plus et essayez de le garder ainsi sans ...
«12...232425...»