1. Divagations sur l'oreiller


    Datte: 02/07/2021, Catégories: fh, hplusag, frousses, grossexe, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, jeu, aventure, fantastiqu, merveilleu,

    ... bouger. Pour maintenir cette stabilité, il n’y a pas trente-six solutions : il faut se tenir la tête haute et rester totalement imperturbable. Après quelques tâtonnements, le bouquin est immobile. — N’oubliez pas de sourire et d’être fière, Élodie… Maintenant, essayez donc de faire quelques pas. Houla ! Marcher en talons ne doit pas être tous les jours facile, mais le faire ainsi perchée et en s’efforçant de maintenir une position aussi improbable relève de la gageure. J’interviens. — Maître, puis-je lui tenir la main quelques instants afin de l’aider quelque peu ?— J’allais vous en prier… Quoique n’ayant jamais été femme – même si, au pays des rêves, je vais finir par me méfier – je me doute bien qu’au-delà de tout le reste, ne pas savoir où l’on pose les pieds en hauts talons ne simplifie pas la tâche. Je l’accompagne quelques mètres, jusqu’à ce qu’elle me lâche la main, puis se tourne vers James, visiblement fière du résultat. — Alors, maître James, comment me trouvez-vous ?— Même si tout n’est pas encore parfait, vous commencez à ressembler à la femme telle que je la conçois… Maintenant, passons à la suite. Veuillez ôter votre chemiser et votre jupe. Pendant l’espace d’un instant, je crois avoir mal compris… Élodie hésite. — Je vous en avais parlé au téléphone. Vous allez vous déshabiller et nous continuerons les exercices. Là, sans hâte, elle commence à retirer chaque bouton de son chemisier. James approuve. — C’est très bien, restez fière quoi qu’il arrive. C’est cela, ...
    ... n’hésitez pas à soutenir mon regard. Soyez plus dure : les hommes ne sont que des cafards qui ne méritent que votre dédain. Encore une fois, j’ai du mal à la reconnaître… Et quand la jupe rejoint le chemisier sur le sol, un frisson traverse l’assistance, bien présente faute d’être visible. Il faut dire que le spectacle vaut le détour… Je ne sais ce qui m’impressionne le plus : ses petits seins hauts perchés, ses longues jambes mises en valeur par ses bas, sa toison rousse encadrée par les dentelles de son porte-jarretelles, tout est ravissant… Mais le plus étourdissant reste son regard : Élodie est presque nue devant cet homme qu’elle ne connaît quasiment pas, elle est parfaitement consciente d’être la cible privilégiée d’un nombre considérable d’yeux qu’elle ne distingue pas, mais elle reste dans la posture demandée par maître James depuis le début : infiniment fière, les mains sur les hanches, totalement étrangère à ce qui se passe autour d’elle. — C’est très bien… Maintenant, veuillez vous présenter devant moi et vous mettre à genoux ici même. Si je ne comprends pas l’astuce dans un premier temps, celle-ci me saute soudain au visage : James, qui porte des bottes de cheval soigneusement cirées, vient simplement d’allonger la jambe et Élodie se retrouve quasiment contrainte de coller son entrejambe contre celle-ci. — N’oubliez pas, quoi qu’il se produise, une femme telle que vous ne doit jamais se départir de sa superbe. Votre indifférence est votre meilleure arme contre la ...