Les menottes
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
ffh,
cadeau,
fsoumise,
hsoumis,
noculotte,
Masturbation
préservati,
fdanus,
attache,
yeuxbandés,
couple+f,
... ?— Comme tu le sens, lui ai-je répondu droit dans les yeux. Il a avalé de travers. Le temps de reprendre ses esprits, il a regardé nerveusement sa montre, s’est levé et est revenu quelques instants après avec une bosse dans la poche du pantalon. — Tu sais, a-t-il bafouillé, on en a beaucoup parlé avec Véro. On s’est posé pas mal de questions. Tu sais que tu m’as fait fantasmer ?— Je m’en doute, lui ai-je répondu. C’est quoi ton fantasme ?— Mon fantasme ?— Oui, ça m’intéresse, j’aimerais savoir… je veux savoir. Il hésitait. Je lui ai tendu la perche ou plutôt les poignets. Bingo, la bête était prête, elle a fondu sur sa proie. En une seconde, l’homme a sorti son cadeau de sa poche et m’a menottée. Clic clac. La discussion devenait intéressante. J’étais là. L’acier sur mes poignets, les bras derrière le dos, mon décolleté ouvert. Ma poitrine montait et descendait au rythme de ma respiration. Offerte au bord du divan, je sentais enfin le regard de l’homme sur moi. Il n’était pas beau mon cadeau ? L’homme a bu un verre, a croqué machinalement une chips. Mon calme et l’absence de réactions de ma part ne suffisaient pas à le décoincer. — J’ai soif, donne-moi à boire. Docilement, il a porté mon verre à mes lèvres. J’avalais à gorgées profondes et laissais couler le liquide sucré de ma bouche. — Fais attention, ça coule de partout, je suis trempée. Ses yeux sont tombés sur mes seins où l’alcool et la sueur perlaient. En quelques mouvements presque brusques, il a ouvert largement ...
... mon chemisier et l’a fait tomber de mes épaules. Assoiffé, il a bu l’alcool. Haletant, il a brûlé ma peau de son souffle. Réaliste, il a fini par abaisser les bretelles de mon soutien-gorge. Mes seins ont jailli. La dentelles a griffé puis libéré mes mamelons tendus. Enfin de l’action. Mais mon cadre supérieur est resté un moment étonné. Etonné de son audace, étonné de son geste, étonné d’avoir devant lui deux seins à moitié sortis d’une dentelle noire. Deux seins haletant et venant. Deux seins offerts. — J’aime les hommes, lui ai-je dit, je savais que tu en étais un. Il m’a demandé : — Tu as un piercing ? Je lui ai répondu : — Ça t’excite ? La forme de son pantalon ne mentait pas, je ne m’étais pas trompée. Ça le faisait bander. Il s’est repris : — Et toi, ça t’excite ?— Viens voir, lui ai-je répondu en me penchant en arrière et en écartant les cuisses. Pas de chance, son élan a été stoppé par un bruit sourd, celui de la porte du garage. — Merde, ma femme ! Il s’est précipité sur moi, a tiré mon soutien vers le haut, histoire de cacher le crime. Rien à faire, mes seins étaient trop tendus, le soutien trop échancré, l’homme trop troublé, ils ont refusé de regagner dignement leur antre. — Et si tu disais à Véro que ce soir vous allez enfin réaliser votre fantasme ? Et si tu lui disais que tu bandes ? Va la chercher, invite-la à nous rejoindre. Tu pourras me baiser avec elle. Ça te dit ? Mes paroles ont eu l’air de l’interpeller. On a beau être ingénieur, on n’en reste pas moins ...