Les menottes
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
ffh,
cadeau,
fsoumise,
hsoumis,
noculotte,
Masturbation
préservati,
fdanus,
attache,
yeuxbandés,
couple+f,
... préservatif et, enfin, j’ai senti un sexe masculin s’enfoncer en moi. Dieu que c’est bon. Véro criait : — Vas-y, vas-y… Je ne reconnaissais pas sa voix, peu importe, le rythme était bon. — Arrête de crier, les voisins vont entendre… Ta gueule, toi, continue, accélère. Tu bandes comme un cochon ! C’est le principal, non ? — Vas-y, vas-y, a-t-elle repris en chuchotant. Et toi, vas-y ma chérie, va voir ce que ta chatte en pense. La masturbation ça se fait, surtout en public. Montre une fois à ton mari ce qui te fait du bien. Va tâter de ton petit coton blanc. Défonce-toi, libère-toi ! Monsieur me labourait, madame se branlait, mon petit doigt faisait le reste et allait tâter de la couille. — Tu as vu, ça fait deux fois qu’elle jouit. Oui je jouis, tu ne connaissais pas ça Véro ? Je mouille ton mari et il n’en peut plus. Lui aussi était en manque, il n’a pas fallu longtemps pour qu’il crache. Au bon moment, madame lui a sorti la queue de ses étuis et il a tout lâché sur mon ventre. Il a giclé jusque sur ma poitrine. Prochaine fois, je le bouffe. Elle a encore crié : — Là, tu l’as eue… Puis silence, respirations. Quelques froissements de tissus et puis plus rien. Le temps d’émerger et de reprendre mes esprits, mes poignets se libéraient. Clic clac. J’ai ôté mes ...
... bandeaux. La table était rangée, mon pantalon plié sur le divan, une petite serviette posée dessus. Pendant que mon hôte me tournait le dos, je me suis essuyée, j’ai remis mes seins à leur place, j’ai enfilé mon pantalon. — Un verre d’eau ?— Merci. J’avais soif. Tout était redevenu comme avant. Seuls mes poignets, mon vagin et mes seins pouvaient témoigner de ce qui s’était passé. — Et Véro ? Elle va bien ?— Trop de travail, elle est partie se coucher, tu l’excuseras. Le regard de mon hôte était plein d’étincelles. Un homme nouveau était né. Un mâle satisfait ou à jamais insatisfait ? Il m’a raccompagnée très poliment. Il m’a dit que je pouvais revenir quand je voulais. Je lui ai proposé de passer à la maison un de ces jours. Depuis cette soirée, mes relations avec Véro se sont un peu étiolées. Elle a du mal à me regarder en face, elle sait qu’elle a eu un moment de faiblesse et n’arrive pas encore à l’accepter sans doute. Par contre mon cadre supérieur a maintenant la réponse à sa question "les menottes c’est pour qui ? " À chaque conseil de classe, à chaque réunion des parents, il vient maintenant chez moi. Je le défonce, je le bouffe, je le mords, je le griffe, je le fais cracher, je lui pisse même dessus. Ses menottes, il les adore. Février 2009Merci A.Jielel