1. Échange de bons procédés


    Datte: 03/07/2021, Catégories: 2couples, couple, extracon, Oral 69, extraconj,

    ... maîtriser mon plaisir et celui de ma (ou de mon) partenaire, et aussi ma fécondité : je ne donne mon sperme, je ne l’offre maintenant qu’à qui le peut recevoir. Qu’en sera-t-il pour Manon et Pierre ? Il faudra que je sois en mesure de leur faire ce cadeau. Claire lâche ma bite raide, doucement remonte sur moi et vient s’empaler, va-et-vient en gémissant. Une bouche embrasse mon visage, mon cou, couvre mes lèvres. C’est Manon. Sa bouche est adorable. Nos langues se mêlent. Quel bonheur… Je voudrais que les filles s’échangent. Non, ce n’est pas encore le moment. « Vous avez le temps » m’a-t-elle dit. Oui, ce temps, il faut que je le savoure. Et qu’il dure, qu’il dure… Claire geint doucement. Son plaisir vient, je le sens. Il arrive. Je retiens le mien, il attendra. Je me concentre sur Manon et ses lèvres. Je désire le reste ; son corps, il faudra le mériter. J’ai le temps. Claire vient. Long souffle doux, puis des halètements que je connais bien, une crispation, détente, son ventre lâche le serrement de ma queue qui se détend un peu. Elle se glisse sur le côté, laissant la place à Manon qui grimpe sur moi. Va-telle se faire pénétrer ? Elle glisse, garde ma bouche, écrase ma queue encore raide entre nos deux ventres. Jambes sur jambes, cuisses sur cuisses, ventre sur ventre. Sa taille est tout adaptée à la mienne, pas comme Claire qui est plus petite. Les sensations sont différentes. Je pense à autre chose. Une de mes petites amies stagiaires, un de mes écarts : Marie-Laure. ...
    ... Très grande, plus grande que moi. Très maigre, presque anorexique. Son physique me fascinait. Six mois de stage, l’amour fait à heure fixe chaque jour de la semaine dans le petit studio de la cour que je réserve à nos collaborateurs occasionnels. Et puis disparition en fin de travail, après son congé. Semble faire carrière aux USA après son diplôme. Manon est là, sur moi, glisse comme un serpent, me jauge, m’aspire, me mange. Une main quitte ma tête qu’elle caressait pour rejoindre ma queue qu’elle prend doucement. Caresses, va-et-vient. Je m’endors. Il est plus de 17 heures quand je me réveille. Les filles ne sont plus là dans la chambre, ni dans l’appartement. Un mot sur la table de l’entrée : Claire est au cinéma. Je sonne chez les voisins. Personne. Je prépare un petit dîner, Claire a écrit revenir vers 19 heures. À son retour, je lui demande son sentiment sur notre petite sieste crapuleuse. — C’était bien ; Manon a bien aimé. Elle voudrait recommencer, ou à l’occasion venir dormir avec nous. Je lui évoque mon désir et ma crainte de faire naître un sentiment de jalousie. — Tu ne crois pas qu’on peut partager un peu ? me répond-elle. Nous ne revoyons pas notre voisine du week-end, Pierre et elle avaient le projet de rejoindre des parents en région parisienne. La semaine suivante est plus que bousculée. Le préfet m’a chargé d’assurer la surveillance des travaux et des fouilles du chantier de samedi en coordination avec l’Architecte des Bâtiments de France ; je suis contraint ...
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