Les Mini-Trucs en vadrouille - Histoires de Sexe

Les Mini-Trucs en vadrouille

... les deux sièges avant, exhibant un bouquin qu’elle brandit comme un trophée : — D’après le guide, il y a dans cette région une seule vieille auberge qu’il faut absolument visiter si on ne craint pas l’inconfort… Très rustique, très "old school"… Comme on cherchait du calme entre copines, on s’est dit que c’était un bon plan…— Oui c’est pas mal… enfin sauf pour le calme, y a du monde quand même en cette saison.— Ah bon ?! Pourtant le bouquin dit que le coin est déserté par les touristes car il n’y a aucune infrastructure… Seuls quelques sauvages pervers dans votre genre habitent encore par là…— Gnagnagna… jeune péronelle… Il date de quand votre bouquin pour se permettre de dire ça ?— Euh… bonne question, c’était à ma mère alors… Tiens 1996… c’est vieux.— Ouais c’est vieux… et les "old school" comme vous dites ont fait des travaux depuis 5-6 ans si bien que ça marche fort maintenant leur auberge…— Merde, lâcha Justine oubliant un instant de refermer son entrejambe en se retournant vers sa copine, il a dix ans ton bouquin ?— Euh ouais, je pensais pas ! Il a l’air vachement neuf pour un vieux machin ! tenta-t-elle de se justifier.— C’est ça oui… Son regard s’arrachant difficilement du tissu qui semblait bien petit et bien serré entre les jambes de la belle brune, François les interrompit : — Bah c’est bien non ? Vous aurez des douches chaudes comme ça.— Oui c’est bien… en espérant qu’il y ait de la place… ajouta Justine en lançant un regard noir à Miss Sans-culotte.— Vous avez ...

... pas réservé ?! demanda l’instituteur.— Euh bah non il fallait ? minauda doucement Christine, mais y avait même pas de numéro de téléphone sur le guide !— Bah plutôt oui ! acquiesça François. Ça va sûrement être bondé en cette saison… Et pour votre gouverne, le téléphone a été installé là-bas avec les fameux travaux. Ce sont bien les seuls à avoir le téléphone sur cette montagne d’ailleurs… En certains endroits on capte du réseau pour les portables, cela dit. Le reste du voyage fut beaucoup moins joyeux, les deux Parisiennes se disputant sur des sujets divers tel que « Tu aurais dû réserver ! », « T’aurais pu vérifier la date ! », « Pourquoi je dois porter tous les torts, t’étais là aussi ! » Les interrompant, François lança : — Hé oh ça suffit hein ! Peut-être vous aurez de la chance il y a des annulations parfois… Les deux donzelles se turent, chacune boudant l’autre et s’absorbant dans la contemplation du paysage vert. Finalement, après dix minutes de calme retrouvé, François rompit le silence en annonçant : — On va bientôt arriver Mesdames, vous voulez que je m’arrête pour que vous vous rhabilliez ? La voix de Justine lui répondit : — Ici c’est bon. Allons plutôt voir le plus vite possible s’il reste de la place.— Comme vous voulez. S’ensuivirent des bruits de farfouillis, quelques déhanchements que le jeune instituteur ne put s’empêcher d’admirer, et les mini-trucs firent leur retour en leur lieu et place habituels. Quelques minutes plus tard, la 2CV prit le petit chemin de ...