1. Le club des nymphes - tome II (20)


    Datte: 05/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... prestance, mais quelque chose me chiffonne dans son regard. — Quelqu’un s’est donné la peine de lui demander son avis ? Qu’en penses-tu, Morgane ? — Euh… hésite-t-elle… c’est que je n’en avais pas vraiment l’intention. Ça me paraît quand même une sacrée responsabilité. Je ne m’en sens pas capable. Je préférerais qu’une autre fille soit choisie. Je veux bien l’aider mais je ne veux pas diriger le club. Louise, qui ne semblait pas s’attendre à ça, grimace. Visiblement, ce désistement semble contrecarrer ses projets. Dommage pour elle, mais elle aurait dû s’en assurer plus tôt. Je me sens coupable de l’avoir mise au pied du mur devant tout le monde : j’aurais dû me soucier de la succession plus en tête-à-tête. — Y a-t-il quelqu’un qui veut se présenter ? demande-t-elle à l’assemblée. Seul le silence lui répond. Mon héritière semble inquiète. Il est vrai que le temps de la succession arrive à grands pas, et s’il n’y a pas de candidates, cela risque de se révéler compliqué. *** Assise sur le rebord de la baignoire, j’écarte les jambes en grand pour permettre à… – euh, comment il s’appelle au fait ? Peu importe – pour lui permettre de me lécher correctement. Je dois dire que « quel que soit son nom » se montre plutôt doué. J’ai bien fait de lui mettre le grappin dessus. Oh oui, j’aime quand on me lape comme cela ! Cela fait déjà de longues minutes que je prends mon pied à me faire brouter le minou dans la salle de bain. Je sens que je viens. Oui, j’atteins enfin l’orgasme ...
    ... libérateur, le premier depuis que je suis entrée dans cette nouvelle école. « Quel que soit son nom » se relève, une bosse énorme déformant son pantalon. — À mon tour, sourit-il. Bien que j’en aie la bave aux lèvres, je me vois obligée de décliner l’offre. — Mais t’avais dit que tu me rendrais la pareille si je te léchais la chatte… se plaint-il. — Oui, mais pas cette fois. Nous devons y retourner avant que quelqu’un remarque notre absence. — Mais, euh… rouspète-t-il dans le vide. Je réajuste ma tenue et sors de la pièce pour rejoindre le salon, laissant « quel que soit son nom » derrière moi. L’appartement de la présidente du BDE est blindé. Il est très compliqué de circuler sans se faire marcher dessus. La popularité d’Émilie Richard, ma marraine, ne fait plus aucun doute. La voilà qui surgit. — Alors, où étais-tu passée ? fait-elle, joyeuse. Allez, viens donc t’asseoir qu’on boive un coup ensemble. Depuis le début d’année, je reste plutôt méfiante vis-à-vis d’elle. Elle se montre sympathique mais j’ai l’impression qu’elle joue à un double jeu avec moi, qu’elle n’est pas sincère, ou qu’elle me cache un truc. Peut-être dois-je chercher l’explication dans le fait que c’est Povin qui lui a demandé de me prendre sous son aile. Quoi qu’il en soit, je la suis sur le canapé où deux de ses amies sont déjà installées. Elle me sert un verre et trinque avec moi. — Alors, comment c’était ? demande-t-elle. — De quoi ? — Comment c’était dans ma salle de bain ? se moque-t-elle. Dès que j’ai ...
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