1. Le club des nymphes - tome II (20)


    Datte: 05/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... grand-chose. Ne m’étant jamais battu, j’ai été maîtrisé assez rapidement. Je n’ai pas été capable d’aider correctement Boris. — Il est humble, en plus… sourit Aliénor. Tu ne t’étais jamais battu ? Alors cela a dû te demander encore plus de courage. — Savez-vous qu’Arthur est mon favori ? déclare Louise. J’ai une nouvelle fois bien choisi. — Ah oui ? fais-je avec un sourire malicieux. C’est intéressant, tout ça. Dis-moi, petit fillot, tu semblais bien troublé lors de notre arrivée tout à l’heure. N’as-tu donc jamais vu deux filles s’embrasser ? — Euh… répond-il un peu gêné, j’ai juste été surpris. J’ignorais que vous étiez si proches. — Zut, (Aliénor joue le jeu), et moi qui pensais que tu fantasmais juste sur des relations lesbiennes… Et la voilà qui embrasse sa fillote à pleine bouche. L’effet sur le visage d’Arthur est une nouvelle fois saisissable. Je souris et embrasse à mon tour mon héritière en passant une main sous sa jupe. Arthur est tout rouge. Thomas se marre, il sait ce qui va arriver. — Peu de premières années sont au courant de mes tendances bi, explique Louise. Cette année, je n’ai pas eu de relations avec des filles. — On va rattraper ça, ma chérie ! lance Aliénor, coquine. — Et dis-moi, petit-fillot, n’as-tu jamais vu deux filles se toucher ? continué-je tandis que ma main atteint l’intimité de Louise. Mes doigts trouvent son sexe très humide, preuve que ça l’amuse elle aussi d’allumer Arthur. Je n’ai donc aucun mal à enfoncer profondément trois doigts. ...
    ... Louise grimace de plaisir tandis qu’Arthur a les yeux exorbités. — Juste sur Internet, lâche-t-il. — Encore une fois, vraiment dommage que tu ne fantasmes pas sur les relations lesbiennes, poursuit Aliénor en caressant les seins de sa fillote, nous aurions pu te faire profiter du spectacle. — Bah… c’est que, hésite-t-il pendant que nous faisons des baisers dans le cou de Louise, il est probable que si… — Probable ? me moqué-je. Il n’y a pas de « probable » qui tienne avec nous. Soit tu fantasmes et tu peux rester profiter du spectacle, soit tu peux t’en aller tout de suite. — Oui, oui, je fantasme ! se précipite-t-il. Je reste. À la vue de l’état de son pantalon, je n’en avais aucun doute. Aliénor fait glisser les bretelles de sa fillote et libère sa poitrine. Elle prend ses deux petits seins dégagés à pleines mains et les tâte vigoureusement. De mon côté je continue d’agacer le sexe dégoulinant de Louise. Sous ma croupe, la virilité de Thomas s’est elle aussi réveillée. Il s’occupe lui aussi de mes seins. Entre deux gémissements, la bouche de la présidente fait des allers-retours entre celle d’Aliénor et la mienne. Arthur ne perd pas une miette du show. — Alors, le spectacle te plaît ? lancé-je, malicieuse, à mon petit-fillot. — Oui, c’est très beau. — Approche-toi plus près, ordonné-je ; nous allons voir à quel point cela te plaît. Arthur obéit. Je tâte la bosse qui déforme son pantalon : il n’y a aucun doute à avoir sur son état d’excitation. Je me sens soudainement coupable de ...
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