1. Sexe et laideur sont compatibles


    Datte: 06/07/2021, Catégories: fh, fhh, hplusag, groscul, laid(e)s, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo,

    Célibataire à 34 ans, célibataire pour toujours, telle est ma devise. Je me prénomme Agathe, je suis horticultrice. Physiquement, je n’ai vraiment pas été gâtée par la nature. Je ressemble à ma mère, mais en pire. Certes, en ce qui la concerne, cela ne l’a pas empêchée de se trouver un mari et de faire trois rejetons. Mais si c’est pour servir de bonniche à un homme qui me houspille, alors très peu pour moi, je préfère rester seule ! Ma mère n’est pas belle, mon soi-disant père n’est très beau non plus et nous sommes les dignes héritières de cette famille bancale, la médaille de la mocheté me revenant car, sans vouloir me vanter, il me semble que je suis de loin la plus laide des trois filles. Je cumule le physique lourdaud de mes deux sœurs et un visage particulièrement ingrat. Je n’en ai pas la certitude, parce que ma génitrice n’a jamais voulu me l’avouer, mais je suis presque convaincue que je ne suis pas vraiment la fille de mon père. Je suis différente de mes frangines, je possède la majorité de leurs défauts, mais aussi avec pas mal en plus, comme si j’avais été enfantée par une espèce de monstrueux facteur. Dans l’arbre généalogique de ma mère, toutes les femmes ont des hanches très larges et des fesses énormes et sont courtes sur pattes, c’est une caractéristique de la famille. Du coup, on ne voit plus que ça, notre énorme popotin. Côté poitrine, mes frangines sont plutôt bien pourvues, ce qui équilibre un peu leurs gros derrières. Moi, de mon côté, je n’ai jamais ...
    ... eu de seins, ou alors très, très peu. Ma poitrine est restée ridiculement petite, comparée au reste de mon anatomie. Rajoutez à cela que j’ai les épaules tombantes et vous aurez une vague idée de mon profil. Pour ce qui est de mon visage, il n’inspire aucune grâce : un faciès anguleux, trop de grains de « laideur », des poils qui poussent un peu anarchiquement et un léger strabisme, je n’ai pas été gâtée par la nature. J’évite de me regarder dans une glace, je ne m’aime pas, mais alors pas du tout et je ne trouve aucune excuse à ce visage sinistre. Adolescente, j’étais particulièrement complexée. Je n’ai d’ailleurs pas eu de vraie adolescence. Je restais la plupart du temps seule, confinée dans ma chambre, et mes frangines avaient bien du mal à me faire sortir de la maison. Quand nous allions faire les courses, cela arrivait de temps en temps que l’une d’entre nous se fasse draguer, mais ce n’était jamais moi, jamais, ô grand jamais. Je n’étais pourtant pas la plus bête, mes deux sœurettes ayant toujours été des écervelées, comme leur père. Mais certains garçons leur trouvaient apparemment d’autres charmes et semblaient fascinés par leurs imposantes poitrines, alors que, de mon côté, je n’avais rien à vendre. J’ai fait un lycée agricole et logiquement j’ai trouvé ce travail chez cet horticulteur : le bon air de la campagne et mes amies les plantes. Au moins, elles, elles ne se moquent jamais de moi ! Des moqueries et des quolibets, j’en ai connu, des gentils et des plutôt ...
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