1. Sexe et laideur sont compatibles


    Datte: 06/07/2021, Catégories: fh, fhh, hplusag, groscul, laid(e)s, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo,

    ... méchants. Au lycée, j’étais le « gros cul sur patte ». Et je ne vous dis pas comment on m’appelle lorsque je passe sur le trottoir en face du PMU ! Mais désormais, tout ça, je m’y suis habituée. J’aurais pu être malheureuse et me complaire dans mon marasme, mais la chance a voulu que ce ne soit pas le cas. Je n’ai pas rencontré de prince charmant, mais j’ai trouvé beaucoup mieux que ça car j’ai trouvé l’amour charnel, ainsi qu’une très grande liberté de manœuvre pour mener ma vie. Célibataire, je le serai toujours : c’est mon choix et j’aime ça. Et je pourrais difficilement être plus heureuse que je le suis actuellement. J’ai perdu ma virginité assez jeune, suite à une rencontre au détour d’un chemin. C’était un homme assez âgé et c’est moi qui me suis donnée à lui parce que je n’en pouvais plus de me sentir différente de mes copines. Elles avaient toutes déjà eu leurs premières expériences, toutes sauf moi. Je l’ai excité un peu, en jouant à l’ingénue un peu nunuche, comme j’avais vu faire une autre fille avec un gars de la maréchaussée. Je crois qu’il a tout de suite senti que j’allais être un coup facile et que c’est ça qui l’a décidé. Il m’a demandé si j’avais déjà eu un petit copain, je lui ai répondu que « non » et cette idée d’être mon initiateur l’a tout de suite séduit. Il n’a pas été particulièrement doux, ni particulièrement attentif et, globalement, il ne m’a pas appris grand-chose. Il a fallu que je retire ma jupe et que je baisse ma culotte pour qu’il ...
    ... m’inspecte sous toutes les coutures avant de m’allonger dans l’herbe. J’ai eu la pire honte de ma vie. Ensuite il m’a pénétrée sans trop de mal et assez brièvement avant de ressortir et prendre son plaisir le long de mes cuisses. J’ai dû saigner un peu, mais je n’ai pas vraiment eu mal, d’ailleurs je n’ai pas eu beaucoup de sensations, excepté peut-être celle d’un léger frottement associé à l’odeur fétide de son haleine. Ensuite, il m’a demandé si je voulais bien revenir le lundi suivant. Apparemment, il était libre tous les lundis après-midi. Je me suis empressée d’accepter, bien trop heureuse d’avoir enfin plu à un homme. La seconde fois, il m’a fait faire une fellation et la troisième, il m’a culbutée à quatre pattes. C’était toujours à la va-vite, car il était toujours pressé. Nous nous retrouvions toutes les semaines au même endroit, près d’un petit cabanon, à quelques centaines de mètres du lotissement où habitaient mes parents. Un endroit pas très discret. Si ce n’est les herbes hautes qui nous protégeaient un peu, n’importe qui aurait pu nous surprendre. C’était un été radieux, particulièrement ensoleillé, il me faisait l’amour dans l’herbe, le plus souvent à quatre pattes, comme une chienne, et en général sans me déshabiller. Nous n’étions pas très bavards. En ce qui me concerne, je ne disais pas un mot. De son côté, mis à part un « putain, ce cul » proféré à chaque fois qu’il baissait ma culotte, il n’était pas trop imaginatif. Et c’est aussi sans un mot et sans un geste ...
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