Sexe et laideur sont compatibles
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
groscul,
laid(e)s,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... si possible très inventifs au lit. Avec le temps, je deviens très exigeante et sais reconnaître d’emblée quand une relation commence sur de mauvaises bases. Et je sais aussi beaucoup mieux apprécier les hommes qui ont du talent. Ce ne sont pas toujours les plus sportifs, un gringalet peut s’avérer être beaucoup plus résistant que monsieur Musclor, de même qu’un homme timide peut avoir plus d’idées coquines qu’un dragueur invétéré. Il faut de tout pour faire un monde. Cinq ans plus tard, j’ai accumulé les expériences. Je tiens un petit carnet sur lequel j’annote les points marquants de ces diverses rencontres. Il faudra d’ailleurs bientôt que j’en change, car il est presque plein. Au dernier pointage, j’en étais presque à une centaine d’hommes pour trois ou quatre cents soirées. Probablement rien d’exceptionnel comparé à d’autres femmes qui font l’amour beaucoup plus souvent que moi (Je sais qu’une de mes sœurs, par exemple, le fait presque tous les jours, mais toujours avec le même copain). Simplement, moi, j’ai la diversité en plus, je profite de l’expérience de mes différents partenaires, j’apprends sans cesse, j’innove beaucoup, ma sexualité est particulièrement riche et harmonieuse. Je me sens très épanouie et plus du tout complexée. Un jour, si j’ai le temps, il faudra que je raconte tout ça, que j’écrive mes ...
... mémoires, un livre qui pourrait s’intituler « La sexualité épanouie d’une femme très laide ». En attendant, en fin de semaine, je dois retrouver un nouvel amant qui m’initie aux joies du bondage depuis quelques temps déjà. Il est venu plusieurs fois à la maison, m’a attachée dans diverses positions avec des bandelettes et des cordages et m’a copieusement zébré les fesses. J’ai pris un immense plaisir à cette première soumission. Quand il m’a enfin pénétrée brutalement à la fin d’une séance de deux heures, j’ai eu une jouissance phénoménale, j’ai joui comme je n’avais joui auparavant, à tel point que je l’ai imploré de rester toute la nuit. Il m’a de nouveau fessée pour mon insolence et n’a accepté de rester qu’à condition que je lui donne mes fesses, chose que je lui ai offerte de bonne grâce, pratique qui m’est désormais familière, mais que je réserve désormais à mes meilleurs amants. Paul est une exception dans mon harem : il n’est pas marié, il est veuf et approche bientôt la soixantaine. Mais je suis toute déjà excitée à l’idée de le retrouver. Samedi je dois passer chez lui. Il va me faire essayer une sex-machine de son invention et il m’a promis un pied d’enfer. Il possède, paraît-il, un donjon et veut faire de moi une de ses soumises. Pourquoi pas, si je garde ma liberté ! J’ai vraiment hâte que la semaine se passe.