1. Gourmande mais jamais « seuls » (1)


    Datte: 06/07/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, plage, boitenuit, Masturbation Oral fsodo, extraconj,

    ... slow, on retourne s’asseoir. Le couple revient. Lui a toujours la main sur ses fesses et je crois qu’elle a relevé sa jupe sur la taille. C’est vrai que ça améliore la vue. Elle a la main dans son pantalon et des fois on voit un petit bout tout rose qui dépasse. Ils nous regardent souvent. Véro se lève et met ses deux bras autour du couple. Elle leur parle en leur caressant le dos et descend rapidement vers les fesses. Ça dure quelques minutes où elle malaxe sans équivoque les fesses à l’air de la madame et le pantalon de flanelle du type. Elle se retourne, m’attrape par la main et me tire vers la sortie. — Je te rappelle qu’on bosse à six heures demain matin.— Tu as raison, je nous croyais jeudi.— Non ça c’est demain. Tu te laisses commander par ton barreau.— Mon barreau ?— Ta grosse queue toute dure si tu préfères.— Et qu’est ce que tu leur as raconté au couple en leur pelotant les fesses ?— Ah, tu as vu ?— C’était vraiment sous mon nez !— C’était agréable. Nous ne nous étions pas trompés, elle a des fesses agréables. Lui aussi d’ailleurs, même si j’ai eu avec elles un rapport moins direct.— Et les paroles ? J’avais pas le son ?— Ben ça justement.— Ça quoi ?— Oui, que demain matin on bosse tôt mais que le soir on sera libres et je leur ai donné rendez-vous dans le même club.— Comme tu y vas ! Et ils ont dit quoi ?— La femme m’a juste dit qu’elle aimait beaucoup comment je lui triturais les fesses.— Triturait ?— Oui ça a été son mot. Faut dire que j’y allais franchement.— ...
    ... Et pour demain ?— Ils n’ont rien dit. On verra. On rentre rapidement à pied. Des fois on se donne la main ou à coté, sans rien se dire du trajet. On monte rejoindre nos piaules. — Bonne nuit, gros cochon. Je ne réponds que par un simple sourire. Je me fous vite à poil et plonge dans mon lit après un grand verre d’eau. J’essaie de ne pas penser à la soirée et aux dernières paroles de Véro. Je fais semblant d’ignorer qu’entre mes jambes y’a un truc qui vibre tout seul. J’y suis presqu’arrivé quand j’entends que ça gratte à la porte. La poignée se baisse. Je continue à faire semblant de dormir. Je distingue une chemise de nuit blanche. Véro sûrement. La porte se referme. Elle s’avance vers le lit. — Patrick, chuchote-t-elle. Elle allume la lumière, me secoue, me regarde. — Ouvre les yeux, merde, je suis sure que tu ne dors pas. Elle se recule un peu et fait passer sa chemise de nuit par dessus sa tête, s’appuie contre le mur. — Merde ! Fais comme tu veux, mais on pourrait se branler tous les deux, j’en ai marre toute seule et tout ça m’a trop chauffée. Moi en tout cas je me branle. J’ouvre les yeux pendant qu’elle me parle. Je me délecte un peu de la regarder. Elle a les yeux grands ouverts et me regarde aussi. Elle est belle dans sa furie de plaisir. Elle tire les peaux de son sexe et frotte son clito, se masse les seins et revient entre ses jambes. Je soulève mon drap et m’assois tranquillement face à elle, sur le bord du lit. Je passe une main sous mes couilles et attrape mon ...
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