1. Gourmande mais jamais « seuls » (1)


    Datte: 06/07/2021, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, plage, boitenuit, Masturbation Oral fsodo, extraconj,

    ... mes fesses. Ça me détend, tu peux pas savoir. Ça fait plusieurs fois que je me masturbe en pensant à toi, et pourtant, je ne crois pas être amoureuse ni avoir envie de changer de vie. Peut être que si on s’était croisés il y a dix ou quinze ans…— J’ai eu les mêmes pensées.— Alors on est d’accord. J’ai le droit d’être cochonne, toi d’être cochon, de toucher mais pas n’importe quand, de faire des trucs fous mais pas n’importe quand et on ne baise jamais ensemble et jamais seuls, et on en parle à nos mecs, enfin toi à ta femme, ça marche ?— Marché conclu ou con-cul !— Eh ben tu prends vite la vitesse de croisière !— C’est une faute de frappe.— De frappé, de frappé du cul, oui ! Oh putain, je sens que je vais aimer ça de pouvoir me permettre avec toi tous les trucs dont j’ai rêvé sans oser les proposer à personne.— Sois coquine, ma cochonne, je te promets d’être coquin comme cochon. On va se rasseoir. — Il bande mon cochon ? Un temps. — Tu me trouves vicieuse ?— Non pourquoi ?— J’aime beaucoup les mots. J’aime lire, j’aime la littérature, j’aime les mots quoi. Du coup, quand je suis un peu chaude j’aime bien le parler cru, le parler cul et en général, je n’ose pas trop, j’ai peur d’être prise pour une femme vulgaire, obsédée, je ne sais trop quoi !— Ne t’en fais pas. Moi aussi, j’aime les mots. Je crois que j’ai toujours un peu eu les mêmes freins que toi pour cette passion, ou pratique, passion est sans doute trop fort. Mais puisque l’on s’est dit que nous construisions ...
    ... ensemble une parenthèse, ce que nous vivons là, il faudra se fabriquer chacun une sorte d’élixir pour l’oublier et retourner dans nos vies, qui ne sont pas des calvaires heureusement. Eh bien allons-y pour le parler cul ! Elle continue à me masser avec son pied et c’est très agréable. Un peu de talon sur les couilles, la pointe du pied sur le gland, parfait. Puis elle reprend son pied (si je puis dire) et disparaît aux toilettes. Je la regarde en souriant quand elle revient. C’est une belle nana. Elle me regarde aussi en souriant. Elle a un regard franc, droit dans les yeux, simplement. On a une connivence de vieux copains. Toute simple aussi dans sa tenue, un tee-shirt bras nus, deux seins galbés, une jupe souple marron aux genoux avec cinq ou six centimètres de dentelle transparente en bas. — J’ai eu du mal à ne pas me branler mais je ne voulais pas te faire attendre, j’ai de l’éducation. Regarde. Elle ouvre son sac à main. Sur le dessus je vois une petite culotte. — Viens. On repart sur la piste de danse, c’est le premier d’une série de slows. Elle me dirige. On se met à faire du surplace. En fait, on est devant la table du couple qui s’était installé devant notre table tout à l’heure. Comme eux, à peine à plus d’un mètre ; elle se cale dans mon épaule, la main sur ma braguette. Je comprends le message et pars me balader sur ses fesses. Je ne peux pas en montrer autant qu’eux tout à l’heure parce que la jupe n’est pas si courte, mais la vue doit être sympa quand même. À la fin du ...
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