Claude-Marie: Cahier 1 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 1

... plateau. Je la vois respirer difficilement. Je sens les doigts de Florence continuer de stimuler le clitoris de ma mère pendant qu'elle me tient la queue fermement de l'autre main. La vision de ma mère qui jouit, la main de Florence, la sensation sur mon gland viennent à bout de moi et je me sens passer le point de non-retour. Quand Florence réalise que je commence à jouir, elle retire sa main et me pousse dans ma mère. Cette dernière me serre dans ses bras et m'embrasse ardemment. J'ai l'impression de jouir sans fin et de remplir ma mère. Florence est passée derrière moi et me pince les seins d'une main et me caresse l'anus de l'autre. Je la sens glisser derrière moi et rapidement je la sens m'embrasser les fesses puis je sens sa langue sur ma rosette. Elle durcit sa langue et tente de me pénétrer. Elle entoure mes hanches et celles de ma mère avec ses bras. Ma jouissance me fait encore trembler. Mon pubis est collé contre celui de ma mère, mon érection est encore pleine et ma mère bouge lentement autour de mon sexe. Elle aussi tremble. Elle ne cesse pas de m'embrasser. Tant elle que moi avons de la difficulté à respirer. Nos mains sont derrière nos nuques et nous nous pressons l'une contre l'autre. Nous voulons garder nos bouches intimement plaquées l'une contre l'autre. Florence se déplace sous moi et ma mère. Pendant un moment, elle prend ma bourse dans sa bouche puis elle place ses mains sur nos pubis et nous force à nous séparer. Mon pénis ne semble pas vouloir se ...

... dégonfler et il glisse de toute sa longueur dans le fourreau de ma mère. Je réalise que ma mère réagit à un nouveau stimulus et que son comportement change. J'abandonne sa bouche et elle abandonne ma nuque. Je vois Florence entre les jambes de ma mère. Sa bouche est grande ouverte et couvre le sexe de ma mère. Je recule et me positionne aux pieds de Florence, je la prends par les hanches et la force à cambrer les fesses. Elle écarte les cuisses et je peux voir son sexe offert à moi. J'y plonge ma queue violemment. Mes coups me font rebondir sur ses fesses rondes et envoient des vagues à travers son corps. Son visage s'écrase contre le pubis de ma mère. Ma mère lui tire les cheveux. J'entends les deux femmes râler. Florence entoure les fesses de ma mère de ses bras pour se tenir contre elle, mais je réalise qu'elle tente de se relever. Ma mère l'aide en avançant vers moi. Ce mouvement me fait pénétrer encore plus profondément en Florence. J'ai l'impression de toucher au col de l'utérus à chacun de mes coups. Les deux femmes s'embrassent. Leurs bras sont enlacés autour de leurs têtes. À chaque coup de mes reins, Florence est soulevée. Ses bras abandonnent la nuque de ma mère et glissent le long de mon corps pour se placer contre mes fesses, ce faisant elle se love plus intimement sur moi. Ma mère écarte son corps de Florence, mais garde ses lèvres plaquées contre celles de mon amoureuse. Elle porte une main au sexe de Florence, le caresse et caresse ma queue qui va et vient ...